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Chapitre 72
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Dès son retour à l’hôtel, Émilie s’est dirigée vers la réception pour procéder au check-out.Après avoir quitté la maison de Fabre, puis après la fin du procès et jusqu’à maintenant, elle avait vécu ici pendant trois mois. Cette somme n’était pas négligeable et même si elle avait de l’argent maintenant, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine lourdeur.« Bonjour, je vais partir demain midi, je voudrais régler ma facture. »« Votre numéro de chambre ? »« 1204. »« Mademoiselle Seydoux, n’est-ce pas ? Votre chambre n’a pas besoin d’être payée. »Émilie a été surprise. « Déjà réglé ? »Le directeur de l’hôtel a souri légèrement : « Monsieur Berthier est l’un des actionnaires de notre hôtel. »Émilie a alors réalisé.De retour dans sa chambre, elle s’est affalée sur le canapé, soupirant longuement.C’était encore une faveur de Berthier.Ce qu’elle détestait le plus, c’était d’être redevable envers quelqu’un. La plupart des choses dans ce monde peuvent être résolues avec de l
Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron Chapitre 74
La nuit, Émilie se retournait sans cesse dans son lit, incapable de dormir. À chaque fois qu’elle fermait les yeux, elle revoyait les moments passés avec Christophe et entendait sa voix résonner à ses oreilles. Elle devait admettre sans aucun doute que cet homme avait un charme indéniable.Au lendemain matin.Émilie a emballé ses quelques affaires et a déménagé dans son nouvel appartement.« Merci, vous pouvez les poser là. »Après avoir dit au revoir aux déménageurs, elle a fermé la porte et s’est tenue dans son salon lumineux et aéré, se sentant rafraîchie.« Bip, bip. »La sonnette a retenti.« J’arrive ! »Pensant que les déménageurs avaient oublié quelque chose, elle a ouvert la porte pour découvrir Joseph, l’assistant de Christophe.« Monsieur Joseph ? Pourquoi êtes-vous ici ? »« Bonjour, Mademoiselle Seydoux. Monsieur Berthier savait que vous déménagez aujourd’hui, il m’a demandé de vous apporter quelques fournitures. »En disant, Joseph a levé le sac qu’il tenait.Émilie, su
Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron Chapitre 75
Émilie était en train de ranger ses bagages dans le salon. Le bruit de la fermeture de porte venait de la cuisine.Avec un « bang », elle a sursauté et s’est retournée pour voir Linda en train de préparer un poisson. D’un geste rapide, « tac », Linda a nettement tranché la tête du poisson. Émilie a senti un frisson dans le cou, son cœur battant, évitant discrètement son regard. Elle avait l’impression que tout en coupant, Linda la considérait comme ce poisson.Pendant ce temps, Joseph avait rejoint Christophe.Il avait une réunion d’affaires avec des clients étrangers au Centre International d’exposition et devait déjeuner avec ses partenaires, mais il l’avait rapidement refusé.« Patron, pourquoi avez-vous envoyé Linda chez Mademoiselle Seydoux pour cuisiner ? Avec son air renfrogné, je crains qu’elles ne s’entendent pas. Pourquoi ne pas envoyer Tina ? Elle cuisine mieux que Linda en fait. »« Tina parle trop. »Après cette remarque, Christophe a jeté un regard à Joseph et a ajouté
Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron Chapitre 76
Émilie venait de le voir et n’a pas pu s’empêcher d’exprimer son admiration sincère : « Linda, tu es vraiment douée. »« Merci, Mademoiselle Seydoux, si cela vous plaît », a répondu Linda avec un sourire, puis s’est adressée à Christophe : « Monsieur Berthier, prenez votre temps pour manger, je vais y aller. »« Ne partez pas, restez manger avec nous. »Émilie a immédiatement insisté pour qu’elle reste.Cependant, Linda a directement enlevé son tablier et a dit au revoir avec politesse mais distance. « Une autre fois peut-être, Mademoiselle Seydoux. Si quelque chose ne convient pas à votre goût, dites-le-moi à tout moment, j’améliorerai la prochaine fois. »Après avoir dit cela, elle est partie avec Joseph qui était à la porte.Émilie a tenté de les retenir, mais la seule réponse a été la porte fermée.Dans la grande maison, il ne restait plus qu’Émilie et Christophe.Une atmosphère gênante a lentement commencé à se répandre.« Où sont les toilettes ? »La voix de Christophe a brisé
Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron Chapitre 77
« Ça fait mal ! »Émilie, tout en se tenant le front, couvrait la moitié de ses yeux et jetait discrètement un coup d’œil à l’homme en face d’elle, qui souriait encore plus largement maintenant.C’était rare de voir Christophe sourire. Mis à part son sourire énigmatique et inquiétant, il semblait toujours froid et impénétrable.Il savait aussi taquiner les gens.« Pourquoi, tu veux payer des heures supplémentaires à Linda ? Je peux t’aider à la contacter. »« Ce n’est pas moi qui l’ai fait venir pour cuisiner », se défendait Émilie avec assurance.« Sans mon accord, vous avez fait venir quelqu’un avec tout un tas de choses, vous savez à quel point c’était gênant pour moi ? »« La prochaine fois, je t’en parlerai à l’avance. »« Il y aura une prochaine fois ? Je vous en supplie, Monsieur Berthier, épargnez-moi et aussi Linda. »Une diplômée de l’Université de Columbia, venant fréquemment cuisiner pour quelqu’un d’autre, même si elle ne le disait pas, elle devait détester Émilie dans son
Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron Chapitre 78
Laure a serré les poings, planifiant secrètement qu’une fois qu’elle se serait mariée avec Christophe, sa première action aurait été de licencier Linda et les autres secrétaires féminines pour éviter tout problème suivant.« Mademoiselle, puisque Monsieur Berthier n’est pas ici au Centre d’exposition, rentrons-nous ? » a demandé le chauffeur devant.« Rentrer chez qui ? » Laure a réfléchi en un instant. « Allons à la boulangerie où nous sommes allés la dernière fois, puis à l’ancienne résidence des Berthier. »Elle ne pouvait rien faire face à l’indifférence de Christophe, mais la vieille Madame Berthier l’appréciait. Elle devait saisir cette chance pour se montrer, c’était sa dernière opportunité.Bientôt, elle est arrivée à la résidence familiale des Berthier. Malheureusement, la vieille Madame Berthier faisait sa sieste.« Petite Laure, viens, prends du thé. C’est du thé de roselle de première qualité », a dit Annick en préparant du thé. « Madame Berthier fait toujours la sieste
Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron Chapitre 79
Après avoir mangé, Émilie a servi une tasse de thé à Christophe.« Du thé au jasmin. »« Merci. »Christophe a pris la tasse et a regardé autour de lui dans la maison.Son appartement, avec deux chambres, un salon, une cuisine et deux salles de bains, était strictement un produit d’immobilier de première nécessité. Beaucoup de gens à Dydjan pourrait lutter toute leur vie sans nécessairement pouvoir se permettre une telle petite maison économique, pratique et très demandé. Surtout c’était en plein centre de Dydjan.« Ce complexe résidentiel est bien situé. »« Vraiment ? Je ne l’ai pas encore fait des recherches, mais tout est pratique ici », a répondu Émilie en rangeant la table. « Je dois remercier mon ami qui m’a aidée à le trouver. »« Ton ami avocat ? »« Oui. »Christophe a légèrement froncé les sourcils, pensif.« As-tu besoin d’aide à la maison ? »« Non », a répondu rapidement Émilie. « J’ai tout rangé. »« Parfait, viens avec moi cet après-midi sur le site du projet. »Émili
Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron Chapitre 80
À quoi pensait-elle ?À ce moment-là, Christophe était en route pour retourner à la résidence familiale.Le majordome l’avait appelé pour lui dire que sa grand-mère ne se sentait pas très bien et lui avait demandé de rentrer le plus vite possible.Si Christophe n’était pas revenu au pays pour héritier le Groupe Berthier après le décès accidentel de son père, c’était par égard pour la santé de sa grand-mère.« Monsieur, vous êtes de retour. »« Et grand-mère ? Pourquoi ne pas l’avoir emmenée à l’hôpital ? »Le majordome a répondu avec embarras : « Madame Berthier a dit qu’il n’y avait rien de grave et qu’il n’était pas nécessaire d’aller à l’hôpital. »« Je vais appeler Alexis. »En disant cela, Christophe s’est apprêté à appeler son ami Alexis Fleury.Mais avant qu’il n’ait pu passer l’appel, Annick est sortie du petit salon de la vieille dame : « Christophe, pas besoin d’appeler le docteur Fleury, maman vous demande de venir. »Christophe a légèrement froncé les sourcils et est entré
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