En regardant dans la direction que Lucas a pointé, il a vu cette silhouette familière, même si elle se transformait en cendre, il la reconnaîtrait, Léa ! Elle n’est pas partie avec Sébastien ? Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Les pas de danses de Léa étaient extrêmement enchanteurs. Dès sa sortie, elle a attiré tous les regards, elle était devenue en un instant le point de concentration de tout le monde. Elle souriait de façon lumineuse et flamboyante, elle dégageait une confiance en elle, sa beauté était inoubliable, Pierre était excité en la regardant. Ceci, Pierre ne l’avait jamais vu, elle avait donc cette facette aussi. Il s’est avéré que, lorsqu’elle n’était pas avec lui. Elle pouvait sourire de manière si belle ! Les sentiments de Pierre étaient partagés, il a fini de boire d’un coup sec son verre d’alcool, il n’avait plus le contrôle de ses sentiments. Presque sans hésitation, il a posé son verre et s’en est allé vers Léa. « Waouh ! Léa, tu es vraiment magni
Au même moment. À la porte du bar, Ophélie a appelé Pierre sur son téléphone, mais personne n’a répondu. La femme avec elle lui a demandé précipitamment : « Tu es certaine que ton frère est ici ? » Ophélie a hoché la tête à plusieurs reprises, et a dit : « Sylvie, je ne me trompe pas, mon frère est sûrement dedans. » La personne était en effet Sylvie Leroux ! De base, elle a été emmenée au centre de détention par Patrick, la famille Leroux l’a complètement abandonnée, la famille Leroy a donné toutes les preuves, il ne restait plus qu’à ouvrir l’audience au tribunal. Cependant, son statut était spécial, et elle était enceinte. Sylvie a donné l’excuse de ne pas se sentir bien, et a été libérée sous caution en attendant son procès. Elle a téléphoné à Pierre, lui a envoyé des messages, elle voulait le voir, mais Pierre ne s’est pas montré une seule fois. C’est pour cela qu’elle n’a pas eu d’autre choix, elle a un peu réfléchi et s’est sauvée de l’hôpital. Ophélie a
Les bruits du bar se sont atténués avec les bruits d’alertes. « Que quelqu’un vienne sauver mon bébé ! » Léa a regardé cette scène sans y croire, ce n’était pas la première fois, Sylvie avait encore une fois sorti ce jeu d’actrice, elle est devenue accro au cinéma ? Pierre a vu cela, son regard s’est assombri petit à petit, d’un grand pas, il est allé vers la scène, et a vu Sylvie allongée au sol. À ce moment-là, il ne s’est pas demandé pourquoi Sylvie était ici. Sylvie l’a attrapé, à cause de la douleur, son visage est devenu distordu. « Pierre, sauve-moi ! Sauve notre enfant ! » « Pierre, c’est cette peste de Léa qui a poussé Sylvie, c’est pour cela qu’elle est comme ça. », Ophélie s’est directement plainte de Léa. Pierre est resté insensible, il a vu que Sylvie n’avait pas l’air de faire semblant, c’est pour cela qu’il l’a prise dans ses bras. Mais la seconde d’après, sa main a touché quelque chose, qui lui paraissait humide. « C’est du sang ! Pierre, Sylvie
« Si c’est comme ça, alors appelons la police ! » Lorsque Patrick a parlé, son regard aussi perçant qu’un aigle tourné vers Ophélie et a dit : « Puisque Mademoiselle Martin a dit avoir vu de ses propres yeux, elle ne laissera sûrement pas Sylvie dans l’injustice, j’espère que Mademoiselle Martin pourra témoigner, et dire ce que vous avez vu. » Ophélie a dit : « Je… », elle s’est pincée les lèvres, elle aurait voulu de base témoigner, mais après avoir vu le visage de Pierre, elle a ravalé ses mots. Et elle a changé de discours en disant : « Il faisait sombre à ce moment-là, peut-être que je n’ai pas tout à fait bien vu. » Elle a changé de discours en présence de Patrick ! Ophélie avait le cœur qui battait fort, comme s’il allait sortir de sa gorge. Patrick a ri froidement et a dit : « Mademoiselle Martin, j’ai juste besoin que vous soyez honnête, pourquoi faites-vous donc cela. » « Je… », Ophélie a baissé les yeux, et a demandé de l’aide en regardant vers Pierre. Le
Sylvie en était certaine et a dit : « Pierre, je sais que tu as encore quelques sentiments pour elle. Vous avez tout de même été mariés pendant trois ans, mais c’est vraiment une femme cruelle, c’est elle qui m’a poussée, c’est elle qui a tué notre enfant ! » « Très bien, j’ai compris. », Pierre a dit cela sans expression sur son visage. « Puisque tu dis qu’elle t’a poussée, alors appelons la police, laissons la police enquêter, on parlera avec la vérité. » Après avoir lâché cette phrase, Pierre s’est levé et a voulu partir. Contre toute attente, pile à ce moment, la porte de la chambre d’hôpital s’est ouverte, Léa a les bras croisés devant la porte. « Léa, tu oses encore venir ! » Lorsque Sylvie a vu Léa, elle a explosé, elle lui a crié dessus. Léa quant à elle n’a pas bougé, mais a dit au contraire : « J’ai entendu tout ce que vous avez dit tout à l’heure. J’aimerais demander alors, Mademoiselle Leroux, hier soir s’est vraiment passé comme tu le décris ? » « Léa,
Même si elle a dit qu’elle voulait appeler la police, elle n’a pas pensé que ce serait aussi rapidement ! Avec ce que Léa a fait, elle a été prise au dépourvu. « Ah ! Sortez ! Sortez tous ! », Sylvie s’est couvert les oreilles et a commencé à crier, elle a perdu le contrôle. Le visage de Pierre s’est terni, et a pris l’initiative de négocier avec la police. « … elle vient de faire une fausse couche, son humeur n’est pas très stable, veuillez bien vouloir l’excuser. » Les deux policiers se sont regardés, ils avaient l’air de vouloir faire les choses comme cela se doit de l’être, et ont dit : « Nous aussi, nous sommes venus après avoir reçu un appel, nous sommes venus aujourd’hui pour connaître la situation. Qui est Mademoiselle Sylvie Leroux s’il vous plaît ? Merci de bien vouloir collaborer. » « Ah ! J’ai mal à la tête ! Pierre, j’ai trop mal à la tête ! », Sylvie a crié en même temps qu’elle a tenu la main de Pierre et a continué en disant : « On dirait que ma tête va
Ils sont arrivés sur le toit de l’hôpital. « Je ne sais pas de quoi Monsieur Leroux veut discuter avec moi ? Si c’est au sujet de la fausse couche de Sylvie, je pense que l’on n’a rien à se dire ! » Patrick a regardé Léa avec des yeux tranchants, puis lui a dit sérieusement : « Mes hommes ont déjà examiné les vidéos de surveillance du bar, il n’y a pas de trace de la scène, si Sylvie dit que tu es coupable, tu crois que tu peux t’en sortir ? » Léa a ri. « La vérité reste la vérité, Monsieur Leroux, avez-vous le pouvoir de changer cela ? », dans ses paroles se trouveait une once de moquerie. Patrick a continué en disant : « La Finlande, c’est le territoire des Leroy, mais à Océville, si notre famille Leroux veut vraiment faire quelque chose, on peut aussi le faire ! Mais je ne suis pas là pour me disputer avec Mademoiselle Leroy, je veux utiliser cette occasion pour faire la paix avec vous. Après tout, c’est mauvais pour tout le monde si l’histoire prend une trop grande amp
Des internautes sont même allés jusqu’à la page Facebook officielle de Groupe Immo-Leroux pour y laisser toutes sortes de commentaires. C’est aussi à ce moment-là que le Groupe a fait une conférence de presse et invité tous les journalistes d’Océville. Durant la conférence, Sylvie, s’est plainte de tous les actes malveillants de Léa en pleurant, et a détaillé comment elle l’a poussée, ce qui a déclenché un brouhaha. « Mademoiselle Leroux, dites-vous la vérité ? Votre fausse couche est vraiment à cause de Mademoiselle Léa ? » Sylvie s’est essuyée les larmes, et elle a hoché la tête en même temps. « Léa m’a poussée, c’est pour cela que je suis tombée et c’est pour cela que j’ai fait une fausse couche ! Le docteur m’a dit tout à l’heure, parce que le bébé avait déjà huit mois, cela a causé des dommages irréparables à mon corps et je ne pourrai plus jamais être maman… » Sylvie a éclaté en sanglots. Tout le monde a de la pitié pour les faibles de l’histoire. À la sortie de