#CHAPITRE_6
#PDV_NADIA
J’avais reconnu la silhouette de Patrick. Je pressais donc mes pas pour aller le rejoindre. J’étais confuse. Qu’est-ce qu’il faisait là ? Il n’était pas censé être en mission ? Je sors rapidement mon téléphone pour l’appeler. En même temps c’est pas comme si j’étais sûre à 100%, car il était de dos. L’action pour sortir mon téléphone du sac n’a pas duré longtemps, mais à ma grande surprise, il avait disparue. Je lance du coup l’appel et heureusement il prend.
MOI : allô chéri ?
LUI : allô ?
MOI : tu vas bien ? tu es où ?
LUI : bien sûr que je vais bien et toi ?
MOI : bien. Tu es où ?
LUI : comment ça je suis où ? On a causé l’autre jour et je t’ai dit que je suis en mission non ?
MOI : c’est vrai mais… j’ai eu comme l’impression de t’avoir vu au campus. J’ai cru que tu me cherchais.
LUI : je te cherche sans t’appeler bb ? Et puis comment ça se fait que tu me vois partout ? Ce n’était pas moi.
MOI : han. Ok. J’étais déjà contente que tu sois rentré plus tôt que prévu.
LUI : ne te gêne plus. Il ne manque plus que 3 semaines.
MOI : d’accord.
LUI : à plus bb.
Il ne manque plus que 3 semaines. Il parle là comme si c’est minime. Patrick me manquait déjà un peu trop. Et pour me consoler, je n’avais que Jorik.
#PDV_EXTERNE
Une semaine passa à nouveau et c’était la joie pour Patrick. Il attendait ce moment depuis pour travailler avec David.
PATRICK : mola, le chantier ci doit finir quand ?
DAVID : tu n’as même pas encore travaillé un jour tu veux déjà savoir quand ça fini… yes papa !
PATRICK : mais oui nor, tu sais que j’ai quoi à faire ?
DAVID : tu as souvent quoi à faire si ce n’est de tromper les petites filles ici partout ?
PATRICK : j’ai changé hein…
DAVID : dion avec quoi ?
PATRICK : tu m’as encore entendu parler de la fille là ? Je l’ai mise de côté.
DAVID : didonc vas dire ça à ceux qui ne te connaissent pas. C’est parce que tu n’as rien. Tu n’as pas d’argent. Tu vas la gérer comment ?
PATRICK : waaaarrr je te dis vrai. Et je veux que tu me rendes un service stp.
DAVID : quand tu veux un service tu fais comme si tu es le plus poli du monde.. hum Vas-y
PATRICK : Sandra. Elle ne veut plus me parler.
DAVID : hum
PATRICK : le jour du eru là, elle est partir sans me parler, jusqu’aujourd’hui. Je la cherche même elle me fuit seulement.
DAVID : tu n’as encore rien vu. Je t’avais parlé de l’affaire là non ?
PATRICK : weer gars vas seulement parler avec elle nor. Tu lui dis que je suis désolé… tu vois un peu.
DAVID : tu vas arranger tes problèmes toi-même.
PATRICK : ….
DAVID : à moins que…
PATRICK : à moins que quoi ?
DAVID : que tu payes mes services.
#PDV_DAVID
Patrick aimait Sandra, même s’il n’était pas responsable et voulait gouter à toutes les fesses de la ville. Sandra était une fille bien. Je me demandais parfois s’il faisait semblant de ne pas voir cela ou quoi ? Et elle aussi l’aimait comme une folle. Elle avait trop supporté ses écarts de conscience et il continuait dans sa saloperie. Alors si à chacun de ses délires je lui facturais, c’était bien pour que Sandra en bénéficie. Cette fois-ci encore, en espérant qu’il change vraiment, j’irai parler à Sandra.
Il m’avait filé son numéro et je calais un rendez-vous avec elle deux jours plus tard.
Je l’avais invité dans un restaurant de son choix.
MOI : sandra, tu vas bien ?
SANDRA : je vais bien merci, et toi-même ?
MOI : l’homme est là. On pousse on met la cale.
SANDRA : tu n’as pas travaillé aujourd’hui ?
MOI : bien sûr que si… c’était une demi-journée. Moi-même je ne sais pas pourquoi, mais le patron en a décidé ainsi.
SANDRA : ok ooh.
MOI : je tenais encore à te remercier pour la dernière fois. Quand je pense à ça je n’ai plus faim mince ! C’était vraiment super !
SANDRA : ahahah regarde alors… depuis là ?
MOI : tu sais, quand les actions nous marquent, on ne les oublie pas. C’est comme si c’était hier. Je t’assure.
Elle sourit. Si j’évoquais l’histoire de la dernière fois, c’était pour qu’elle me parle de Patrick. Mais non, mon plan avait échoué. Alors j’improvisai.
MOI : j’ai écrit à Patrick, il arrive nous rejoindre d’un moment à l’autre.
Elle relève vite la tête et change de ton.
SANDRA : et pourquoi ?
MOI : c’est quelle réaction ça ? Tu ne veux pas qu’il nous rejoigne ?
Elle dépose la fourchette et me fixe.
SANDRA : tu m’as invité ici pour lui non ?
MOI : sandra écoute…
SANDRA : j’écoute quoi ?
MOI : je blaguais, il ne vient pas mais écoute moi au moins…
SANDRA :…
MOI : il est vraiment anéanti pour son acte passé. Il reconnait avoir été ingrat et implore ton pardon.
SANDRA : c’est lui qui t’a envoyé n’est-ce pas ?
MOI : est-ce que je suis un enfant pour qu’il m’envoi ? Je l’ai vu se lamenter auprès de moi et je suis conscient que vous vous aimez et…
SANDRA : David j’ai déjà trop supporté ton ami. Je ne sais pas pour qui il me prend. Moindre chose j’accepte, moindre chose je pardonne. Mais lui il ne voit pas. Dire merci aux bonnes actions lui dépasse. Il voit toujours le mal partout. Il croit que si je voulais le trompé je ne l’aurais pas fait depuis ? Et avec un homme bien riche que lui ? Il ne fait même pas un peu d’effort. Parfois je me demande même ce qui m’attire vraiment chez ce gars. Je lave ses vêtements, nettoies sa maison, le soutien et l’encourage, le satisfait sexuellement même si parfois nos envies sont différentes, et en retour qu’est-ce qu’il m’offre ? La petite attention, l’affection momentanée et amour qui ne coûtent aucun sous, il a ne serait-ce que ça ? comment un homme peut être pauvre d’esprit jusqu’à ce niveau ?
MOI : calme toi sandra.
SANDRA : non, dit moi. Comment quelqu’un peut être aussi aveugle ? Je ne suis pas parfaite mais lui est-ce qu’il fait l’effort ? L’argent même de poche qu’on donne aux filles là, je vois ça ? C’est même encore moi qui vient préparer pour lui à mes frais. Il connait seulement jouer le beau. Si je ne le convainquais pas de travailler avec toi il serait où à présent ? Il reste à la maison et dit que son dossier est chez son oncle. Hum.
MOI : tu as fait tout ça a parce que tu l’aimes nor… encore un peu de patience et il comprendra.
SANDRA : un peu de patience chaque jour ? Ça fait 3ans que je le supporte et je ne vois pas une nette amélioration. Avant il faisait l’effort et me donnait même 3mille par semaine. Maintenant les mois passent et même 1000f il n’y a pas. Au lieu d’évoluer il gâte tout. Je suis sûr qu’il n’y a pas deux choses qu’il puisse faire avec son argent. Il doit avoir les petites bordelles dehors. David je l’aime peut être mais je ne peux pas en même temps mendier l’amour. S’il ne veut pas changer, je m’éloigne de lui. Et pour de bon.
MOI : avec tout l’amour que tu as pour lui tu peux vraiment faire ça ?
SANDRA : si ce n’est que comme ça qu’il comprendra et reconnaitra ma valeur, alors oui je le ferais. Mais il sera trop tard pour lui, car je ne l’attendrais pas. Je n’ai rien à faire avec une personne qui me perd le temps et ferme les yeux.
DAVID : j’ai compris. Et je crois que lui aussi.
SANDRA : lui aussi ?
MOI : oui, j’ai lancé l’appel quand tu parlais.
SANDRA : …
MOI : sandra, tu es une très belle femme, intelligente et adorable. Patrick est un beau garçon, irresponsable et inconscient. Au nom de l’amour que tu as pour lui, pardonne encore une fois. Et s’il recommence, je ne viendrais plus devant toi pour sa cause, tu feras comme tu le veux et avec raison. Tu sais, l’amour a deux facettes, à la fois doux et très piquant. Et c’est difficile de comprendre l’autre personne. Non seulement ne vous avez pas le même passé, la même éducation, la même vision, mais aussi vous rêvez et agissez différemment. Dans ce cas ce qu’il y’a lieu de faire est d’essayer de vous comprendre. Je dis essayer parce que tu es d’accord avec moi que vous ne serez jamais en parfait accord non ? Cherche plutôt à l’amener à comprendre qu’il fait mal. Tu vois là, ça fait deux semaines que tu n’es plus en contact avec lui. Ton absence l’a beaucoup impacté. Il faut le voir, tu l’as tellement bien entretenue qu’il ne sait même pas ranger sa chambre. Il a besoin de toi dans sa vie.
SANDRA : il ne pense qu’à lui. C’est un égoïste.
MOI : je crois qu’il a compris cette fois ci. Il changera.
Elle était vraiment remontée. Son visage avait changé.
SANDRA : j’ai compris.
Son j’ai compris était tout plat mais je savais quand même qu’elle le fera.
Mon ami ne se rendait pas compte du trésor qu’il avait et qu’il pourrait perdre. Sandra était le genre de femme que tout homme rêverait d’avoir. Sublime, douce, intelligente et ambitieuse. Tout ce qu’elle demandait était un peu de reconnaissance et d’attention de temps à autre, par la personne qu’elle aime. Ses rondes joues la rendaient encore plus radieuse, avec sa magnifique corpulence potelée.
Je secoue la tête en la regardant, car cela me fait de la peine. J’étais encore plus remonté par Patrick.
Nous finissions de manger et je lui remis 5000f. Cet argent que j’avais pris à Patrick pour la négociation de leurs relation.
MOI : tiens… tu prends ton taxi avec.
SANDRA : (elle me regarde et regarde l’argent puis prend) merci, c’est gentil.
MOI : de rien.
Je l’ai mis dans le taxi et elle s’en est allé.
#PDV_EXTERNE
David avait réussi à persuader sandra.
Pour le remercier, Patrick avait acheté deux Cartons d’el Vino pour se rendre chez son ami.
PATRICK : merci beaucoup bro, tu mérites mon entière confiance.
DAVID : toi tu n’as pas encore gagné la mienne. Il en faut plus.
PATRICK : comment ça ?
DAVID : prouve-moi que je n’ai pas eu tort en convainquant Sandra de te donner une nouvelle chance.
PATRICK : c’est promis. Merci encore mon frère.
DAVID : et elle est où ? Comment ça tout ce vin c’est pour nous ?
PATRICK : j’avais prévu pour nous trois. Mais bon, il ne faut pas en même temps que je lui mette la pression. Je vais lui laisser son temps. On a causé et elle m’a dit qu’elle me fera signe.
DAVID : d’accord, c’est bien réfléchi.
Nadia savait que Son amour est déjà de retour dans la ville. Alors elle avait concocté un magnifique gâteau pour lui faire une surprise.
Elle s’était faite toute belle, et acheté de nouveaux vêtements avec l’argent remis par Jorik.
Lorsqu’elle arriva devant l’appartement, elle sonna et attendit.
Patrick et David étaient en train de faire un toast.
PATRICK : à l’amour
DAVID : à ta conscientisation !
LES DEUX : toast !
DAVID : j’ai comme l’impression qu’on frappe à la porte.
PATRICK : tu attends quelqu’un ?
DAVID : pas du tout. J’allais te demander.
En allant ouvrir la porte. Il tombe sur Nadia et regarde Patrick. Ce dernier est étonné.
NADIA : bonjour mon amour (toute souriante)
Les garçons se regardent et parlent avec les yeux.
NADIA : je voulais te faire une surprise chérie et je vois que c’est bien réussi. Bonsoir l’ami de mon chéri. (Entrant)
Patrick la stoppa net !
PATRICK : hé hé hé ! Je demande hein ? Tu vas où ? On t’a dit qu’on entre chez les gens comme ça ?
Elle fronce les sourcils et regarde derrière elle s’il n’y aurait pas par hasard une autre personne.
PATRICK : je parle à toi Nadine. Rentre d’où tu sors et ne mets plus tes pieds ici.
NADIA : mais ché…
Il déposa son verre et arrêta son bras pour la traîner dehors.
PATRICK : je te demande de sortir et de ne plus remettre les pieds ici. J’espère que tu as bien compris.
Il l’avait chassé comme une vulgaire chienne, elle et son gâteau. Il verrouilla la porte de l’intérieur.
Toujours devant la porte, elle était devenue toute moite et les larmes qui coulaient.
Elle avait laissé le paquet s’écraser sur le sol.
À SUIVRE…
#Larrime
#EcrireCestHurlerEnSilence
#CHAPITRE_7Nadia pleurait à chaudes larmes. Elle ne pouvait jamais imaginer Patrick lui faire une telle chose. Elle touche le gâteau et éclate encore en sanglots. Elle prit à nouveau son courage et sonna. Mais lorsque Patrick vint guetter à la fenêtre sans toutefois lui ouvrir, elle comprit qu’il n’avait pas mâché ses mots.Elle se nettoya le visage et prit la route.DAVID : Donc tu as été sérieux là tout à l’heure ?PATRICK : Je n’ai jamais été aussi sérieux bro. Tu doutes ?DAVID : Tu m’as étonné. Tu ne l’as même pas coupé une fois. C’est bien ça.PATRICK : Aah laisse ça, laisse ça mon frère. J’ai compris la leçon. Ce n
#CHAPITRE_8J’étais encore plus choquée lorsqu’il m’a dit :JORIK : Bb, et si on allait visionner ? J’ai de nouveaux films et c’est sûr que tu vas adorer.Ce n’était pas la malchance que c’est quoi ?Il était sérieux qu’il ne puisse lire en moi le désir ? C’est sûr que si c’était Patrick,Il aurait deviné et plus on n’en serait plus là. J’accepte quand même.MOI : D'accord bb. C’est un film de quoi déjà ?JORIK : D’action.MOI : Attends non mais tu es sérieux là ? Ta copine vient à la maison et c’est le film d’action que tu vois que tu vas mettre ?&
#CHAPITRE_9MOI : si tu ne crois pas en ce que je te dis, tu croiras en quoi donc ? Tu crois vraiment que si j’étais conscient j’allais te chasser et te rechercher ? Pour ta gouverne, quand je jette je ne suis plus sur ça. Alors si tu ne veux pas me croire je ne vois pas ce que tu fais là. Je suis désolé de m’être excusé. (J’enlève mon haut et m’allonge sur le lit. Tandis que ses yeux suivent mon torse) les clés sont sur la porte. Si tu ne me crois pas, je ne te retiens pas. Je n’aime pas trop bavarder quand j’ai raison.Je parle ainsi et me tourne dos à elle. Je sens son visage me fouetter le corps.Je resserrais mes mâchoires. Si elle sortait, cela voudrait dire qu’elle a compris mon petit jeu.Je suis comment elle se lève tout doucement et arrive
#CHAPITRE_10--- : tu es malade ??? Tu oses gifler mon fiancé ? Toi c’est qui ?Quel courage ! je ne l’avais pas vu venir. Elle m’avait limé la joue. J’étais dans tous mes états. Je ne savais quoi faire à présent, entre lui rendre et entrer dans la bagarre ou alors m’avouer perdante et m’en aller.Elle par contre arrêtait encore bien le bras de Patrick pour continuer la route.MOI : Patrick ! Tu as osé me faire ça ? Tu me trompe avec une autre ? Tu m’avais promis le sérieux pourtant.Il ne me calculait pas. Tout ce qu’il voulait sans doute était de disparaitre. Elle, elle était perdue. Elle me regardait comme une folle et regardait Patrick en attendant qu’il dise quelque chose. Il restait bouch
#CHAPITRE_11JORIK : tu déménage ?ELLE : pour une autre ville. (En le traversant. Puis elle se retourne) et stp, ne me cherche plus.Comment vous expliquer le choque qu’avait ressenti Jorik ? Elle ne lui avait pas laissé le temps de s’exprimer. Elle avait été très stricte, très direct, t même frustrante. Rachelle était sorti. Elle le salua et l’invita à entrer.Il était juste dépassé. Il n’avait pas dire un seul mot depuis l’intérieur. Rachelle l’avait servi à manger, mais il n’osa point toucher.RACHELLE : Jorik.Il lève les yeux et la regarde.RACHELLE : tu ne vas donc pas manger ?JORIK : je venais juste pour
#CHAPITRE_12Monsieur mon collègue était revenue me voir. Mais cette fois ci il m’avait bien calculé. C’était en fin de journée. Net l’heure à laquelle j’étais censé rentrer.--- : toujours occupé ?MOI : Andrew !ANDREW : je veux juste une minute.MOI : Tu en as déjà pris 30 secondes.ANDREW : pas ici… je t’invite prendre un verre.Il avait assez ronronné dans mes oreilles. Pour couper court, j’acceptais son invitation.ANDREW : dis-moi, on a un problème ?MOI : Humm.ANDREW : j’attends une réponse concrète stp.MOI : non.&
#CHAPITE_13#PDV_EXTERNENadia se réveillait peu à peu. Elle essaie de bouger ses pieds mais n’y arrive pas.NADIA : Mon…mon pied… Mon piedL’infirmière qui était près d’elles fit appel au Docteur. Ce dernier vint aussitôt.DOCTEUR : Comment tu te sens ?NADIA : Mais… qui êtes-vous ? Je suis sensé être chez mes parents.DOCTEUR : Calmez-vous.NADIA : Pourquoi vous avez bandé mes pieds ? Laissez-moi partir.A l’instant Rachelle entre sans que l’infirmière ne puisse la retenir.RACHELLE : Tu t’es réveillée ? Enfin !NADIA : Enfin ? Qu’est-ce
#CHAPITRE_14Gabriel demandait de temps à autre son père. Sandra, confuse, le tournait à chaque fois. Elle était toute de même consciente que le petit n’avait rien à voir dans leur affaire de couple. Alors elle décidait d’amener le petit, mais à une seule condition.SANDRA : il ne dort pas ici. Tu passes la journée et je viens le chercher.PATRICK : comment ça ? Mais Sandra !SANDRA : c’est comme j’ai dit là.PATRICK : je te rappelle que c’est mon enfant aussi hein ?SANDRA : tu sais prendre soin de l’enfant ? Ne cherche même pas à discuter. Réjouis-toi du fait que je ne t’ai pas fait passer pour un mort auprès de lui.PATRICK : tu serais capable de faire &