Eva et Sam s'arrêtent devant un bâtiment imposant. Fait d'un bloc de pierre sculpté, la façade avant est parsemé de colonnes blanches conservées de la fureur du temps. Sur chaque colonne se trouve le drapeau du pays flottant au dessus de la route accentuent encore plus l'impressionnant de grandeur du bâtiment.
- On y va ?
Comment elle fait ? Se dit Sam. En la suivant en silence il pénètre dans la bâtisse et se dirige vers l'accueil tenu par un homme plus grand qu'eux d'au moins une tête. Sam se sens petit a côté, lui qui a toujours était le plus grand vit pour la première fois cette sensation qu'on ressent quand on est obligé de lever la tête pour voir les yeux de son interlocuteur.
- Bonjour. Dit l'homme. Eva dit sur le même ton que son interlocuteur:
- Bonjour, nous aimerions le min
Dans la voiture Sam ronge son frein devant un feu rouge le visage renfrogné. Excédé par la vue de se visage Eva lui demande dans un soupir: - Qu'est-ce qu'il y'a ? - Mais rien du tout. Absolument rien. - Alors pourquoi tu tire une tête aussi affreuse ? Pense aux enfants qui passe. Tu va les traumatiser. - Espèce d'égoïste. Lâche Sam en l'entendant Eva fût d'abord choqué puis elle sourit. - Alors j'ai atteint la limite de ta patience, je pensais que tu en avait plus que ça. - Parce que tu le fais exprès d'être aussi désagréable. - Allez dit le mot que tu as en tête. - Arrête, il démarre la voiture puis tourne a droite et se gare dans un parking en face d'une banque. - Pourquoi tu t'arrêtes ? - Parce que j'en ai marre, et d'ailleurs on va où? Tu cache tes plans et tu veux que je te suive aveuglément ? Tu crois quoi ? Qu'après l'histoire des faux ordres des missions et tout ce qu'il
Sam relève son pied. Le bout de sa chaussure en sang. Le commandant après une demie seconde d'hésitation dit:- Évacuation d'urgence ! Replis a la base. Deux soldats prennent Eva encore sous le choc par les bras pendant que deux autres tire les deux corps. Sam est poussé dans la véhicule de l'armée a vitesse grand V. Et trente secondes plus tard la ruelle était de nouveau déserte elle porte néanmoins les stigmates des récents événements. Quelque minute plus tard dans la caserne des militaires.- Vous allez bien ? Demande l'amiral Mash a Sam.- Hum, ah oui je vais bien mais Eva ?- Ne t'inquiète pas pour elle je suis pas médecin mais de ce que j'ai vu ce n'est pas grave.- Et comment peut-ont en être sûr ?- C'est simple j'ai vu des chose dont aucun esprit humain ne voudrait imaginé. De mains qui penden
En ce temps là Zaleme n'était pas la grande puissance qu'on connait. Bien au contraire nos frontières était constamment grignoté sans Zakia je pense qu'on aurait finit comme Volta. Eva intriguée lui demande:- C'est-à-dire ?- Anéanti et rattaché a Ogri. Volta et Zaleme ont longtemps était les pays les plus vieux du monde de ce fait nos relations était plutôt cordiale et pacifique. Hélas ce n'était pas le cas avec les autre.- Oui je sais ça, a l'époque les guerres était pas longue mais plus courante. Causant des millions de morts en tout.- Oui, et c'est a cette période que j'ai commencé ma carrière. Avec moi un type pas très sympathique au premier abord. Il avait la visage toujours fermé, ne riait pas souvent pour pas dire jamais. Mais pendant les campag
Une heure plus tard la soleil se couche à l'horizon plongeant lentement la ville dans la peine ombre. À la caserne l'amiral revient voir Eva qui sous l'effet de la morphine dormait comme une masse. - La morphine a enfin eu raison d'elle on dirait. - Comme vous le dite amiral, enfin. -Vous lui avait donner quel dose? - Assez pour endormir un éléphant monsieur. - Malgré ça elle a réussit à rester consciente, je crois que mon ami serais jaloux d'elle. - Monsieur que faisons nous maintenant ? - On ferme la caserne, personne n'entre personne ne sort. - Bien. Les deux hommes quitte ensuite la chambre. L'amiral appelle le ministre pour lui expliqué la situation et parler du souhait d'Eva. Pendant ce temps chez Sam l'ambiance est morose Olivia prend la télécommande allume la télé regarde quelque second une chaine puis zappe. Elle recommence encore, encore et encore jusqu'à ce qu'elle to
Le jiguel retentit signe que le programme reprend Maeva est particulièrement concentré sur ce qui se passe.- Nous vous remercions de votre patience. Nous allons a présent reprendres notre débat avec Naomi Greg.- Si ont peut appeler ça un débat. Rétorque Naomi. Personnellement parler du malheur des autres n'entre pas dans ma définition du mot débat.- Je ne parle pas en mal.- Pas encore, en tous sur ce sujet je n'ajouterais rien de plus.- Un commentaire au moins pour nous dire dans quelle état se trouve notre seul espoir. Naomi se braque puis elle se tourne vers le journaliste d'un air furieux. Cependant elle se calme puis elle dit:- Pardon?- Vous avez très bien entendu.- Donc pour vous nous autres on ne fait que se tourner les pouces ?- Ce n'est pas moi qui le pense. Mais près de 60% de la
Quelque part non loin de la caserne où se trouve Eva.- Ts, ils ont commencer a agir plus vite que prévu. Moi qui pensait qu'il laisserais tranquille pendant encore plus de mois. Mais ça veut dire qu'elle se rapproche de la vérité. Dit, tu crois qu'en découvrant tout elle va changer d'avis a propos de son pays ? Un silence se fait puis l'homme habillé en noir esquisse un sourire.- A oui c'est vraie les morts ne parle pas. Ensuite il saute et disparaît dans l'obscurité de la nuit.À une centaine de kilomètres de là dans une prairie perdu où rien ne pousse une voiture s'arrête. De là un homme habillé de manière sobre descend. Rejoint par une femme.- Pourquoi avez-vous échoué ?- On l'a sous-estimé. Elle a plus de ressources que je ne l'aurais imaginé.
Le lendemain, Sam et Maeva accompagné de Chamy rendent visite à Eva. - Qu'est-ce que vous faites là ? Je vous croyez au poste. Leur dit Eva surprise de les voir. - On te ramène quelqu'un qui a très envie de te voir. Répond Maeva souriant puis elle ajoute:- Elle ne tenait plus en place. A ce moment la tête de Chamy surgis de nul part, son regard innocent et perçants fusil Eva. La voyant comme ça la brune craque et invite la fillette a la rejoindre sur le lit. Sam et Maeva les laisse après avoir marché dans les long couloir de la caserne ils finissent par sortir et se retrouve dans la voiture. - Tu crois qu'elle va se remettre ? Demande Sam. - Oui, j'en sûre. Une heure plus tard dans un des bureau du dernier étages du poste centrale. - Bon ! Sam tu sais où en sont les autorisations que vous êtes allée cherché ? - Eh bien, c'est compliqué. Les dossiers qu'ont demande sont s
Quelque heures plus tard Eva sort de l'hôpital sous escorte et conduit directement chez le ministre des armées. Elle ne se rendent compte de rien jusqu'à ce que la voiture empreinte une route qu'Eva ne connais pas. - On va où ? - Voir le ministre comme vous l'avez demander avant votre fâcheux accident. - Ah, mais il y'a ma fille avec moi. - Il veut la voir alors on vous emmène tout les deux. De plus votre sécurité n'est toujours pas assuré. - C'est pour ça qu'il y'a deux voiture qui nous suivent ? Vous auriez au moins pu filez un vêtement à ma fille bande de..non je dois me contrôler devant elle se dit-elle avant de lui dire: - Ok, que dois-je savoir sur lui avant de m'avancer ? - C'est à dire ? - Les sujets à éviter, son tempérament ce genre de chose là. - Bonne chance. - Répond soldat. - Je suis au ordre de l'amiral et il a était très clair. En dehors de la destination f