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Chapitre 113
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Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 114
Bella le trouvait ridicule. « Parce que tu es stupide ! Elle est intelligente, travailleuse et douce n’est-ce pas ? Moi je suis méchante. »Lucas a rougi de honte.« Chérie, pardonne-moi de t’avoir fait tant de mal. Je suis désolé, laisse-moi passer le reste de ma vie à tes côtés. Je vais réparer tout le chagrin que mes folies t’ont causé, je te promets. Je ne vais pas faire la même erreur. J’étais si bête. Tu as raison. Je suis assez jeune pour commencer ma propre entreprise, tant que tu es encore là. »Il la regardait, attendant une réponse positive.Le visage de Vincent s’est vite assombri, c’était la première fois qu’il trouvait son neveu éhonté.Mais ce qui l’inquiétait le plus, c’était la décision de Bella. Après tout, elle l’avait aimé.« Bella, celui qui t’a trahi te trahira. »« Mon oncle » a dit Lucas avec honte et indignation. « Je sais que tu l’aimes mais, ne te précipite pas dans la brèche. Je suis dans son cœur tout le temps. »Ennuyée de leur dispute, elle leur a coupé
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 115
« Elle ne sera plus ma femme. » La physionomie de l’homme s’imprégnait d’une féroce indignation.« Je vais faire les procédures de divorce avec elle dès que possible. »« Mais ceux qui ambitionnent l’entreprise... »« J’aurai d’autres solutions», a dit Théo qui a allumé une cigarette et a inspiré une profonde bouffée. « J'en ai marre des femmes de la ville de Tong. Ne me parle plus d’elle à partir d’aujourd’hui. » Quand il a pensé à elle, il se retenait pour ne pas l’étrangler.L’idée qu’elle était maintenant avec Vincent l’angoissait.« Tu as décidé ? » « Bien sûr, cherche une autre villa pour moi. Je ne veux pas rester là où elle a vécu. De plus, Pilou a fait trois petits et on a besoin d’une grande cour. »« C’est bon. »Elle a perdu un homme pour qui des milliers de femmes se précipitaient. Qu’elle était stupide ! se disait Gabriel.Théo s’est retourné, regardant par la fenêtre, l’air pensif.La cigarette dans la main lui brûlait les doigts, et il ne semblait pas le remarquer.
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 116
« Madame Leroy, avez-vous le temps de concevoir mon cinéma ? »« ... »En quelques jours, d'innombrables personnes l'ont contactée en ligne pour concevoir leur maison mais, Bella n'a pas répondu et elle a seulement publié l'adresse de son entreprise.Bientôt, Le Moreau est devenu une étoile montante parmi toutes les entreprises de rénovation du pays. De nombreux clients venaient s’y renseigner et faire des collaborations.Frank était heureux et a augmenté le salaire de Bella. Il lui a fait un compliment : « Bravo, l'entreprise a reçu plusieurs grands projets grâce à toi. C’est magnifique ! Tu as gagné ta réputation. Tu es devenue la styliste la plus connue du pays. »« Sans votre, je n’y serai pas parvenu », a dit Bella avec un grand sourire.——Chez la famille LeroyLéonie était folle de colère.Toute la journée, elle a reçu des milliers de courriers l’insultant avec des propos venimeux. Même le site officiel de L’Éclair est devenu la cible des quolibets. Toutes les filles des famille
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 117
Lorsque Bella rangeait ses affaires pour aller au restaurant avec ses collègues, quelques policiers sont arrivés au bureau en demandant : « Qui est Bella ? »Les collègues étaient surpris. Bella s'est alors sentie mal à l'aise. Néanmoins, elle s'est levée en disant : « C'est moi... »Mais à peine a-t-elle prononcé ces mots que les policiers lui avaient mis les menottes.Le commissaire a dit froidement : « L'hôtel Lublin a pris feu ce matin et on estime les dégâts à plus d’une dizaine de millions d’euros. On a reçu un appel d’urgence de l’hôtel et la compagnie l’Éclair a signalé que vous aviez la charge de l'hôtel avant l’incendie. Donc, vous devez nous suivre au poste de police pour l’enquête. »Bella était stupéfaite : « Ça ne me regarde pas du tout. J’ai quitté l'hôtel il y a déjà deux mois. Ils veulent faire de moi le bouc émissaire. »« Pardon, l’Éclair a remis des preuves montrant que vous aviez reçu des dessous-de-table pour utiliser du câble de mauvaise qualité. Arrêtez de men
Laissez-moi partir, M. Huo ! chapitre 118
Le policier a refusé catégoriquement que Bella passe un coup de fil. Elle a donc été enfermée.La cellule était petite mais, environ 8 personnes y étaient emprisonnées. Chacun avait son lit de planches.À peine assise, une femme grande a versé un seau d’eau dans son lit.« Qu’est-ce que tu fais ? » Bella a posé la question sans réfléchir tandis que les autres femmes qui avaient des visages terrifiant l’ont entourée aussitôt.« Quoi, oses-tu me gronder ? » La grande femme a relevé ses manches et a dit d’un air féroce : « Sois discrète, je tuerais quiconque ose m’offenser. »« Pardon… pardonnez-moi, vous agissez comme vous voulez. » Bella n’était pas stupide. Elle savait jauger la situation. Toutes ces femmes enfermées étaient hargneuse et il fallait les éviter. Cependant, elles ne voulaient pas s’arrêter là.« Je regrette, je n’accepte pas ces excuses. Je hais les belles femmes comme toi. C’est à cause de vous que mon mari m’a larguée. »À ces mots, la femme s'est jeté sur Bella et lui
Laissez-moi partir, M. Huo ! chapitre 119
Alice était un peu déçue. À vrai dire, la famille Duval était influente dans la ville de Tong. Cette fois-ci, les Duval étaient vraiment indignés.« Et… Comment faire ? »« J’ai déjà informé mon oncle, il est en route. » Lucas avait l’air contrarié car il se sentait impuissant. Bien que Vincent soit un rival en amour, il a dû le supplier de sauver Bella.« Vincent connait des gens, peut-être il a des moyens. »« Bon d’accord. » Bella a dit que Vincent avait dû penchant pour elle. Il semblait digne de confiance.Alice pensait à ce qu’il avait fait auparavant, elle ne pouvait se contenir de se moquer de Lucas : « Après avoir été lâché par ta fiancée, tu sais bien qui tiens à toi ? Tu ne penses plus que Bella te fait honte ? »« C’était de ma faute, j’étais aveugle. »Indifférente à ses excuses, Alice a ajouté : « Les conditions d’emprisonnements sont extrêmement mauvaise. La dernière fois, Bella était traumatisée après avoir été emprisonnée à la maison. Il faut la libérer ce soir.Lucas
Laissez-moi partir, M. Huo ! chapitre 120
Vincent a ajouté : « il s’est retiré de la vie publique depuis des années mais, j’ai entendu dire qu’il est venu dans la ville de Tong il y a quelques temps. Le problème, c’est comment la persuader. J’ai déjà essayé de lui donner trois cents millions pour prendre mon affaire mais, il a quand même refusé.Bien sûr, il a refusé beaucoup de gens, y compris des célébrités et des hommes politiques. Que ce soit le pouvoir ou l’argent, il s'en fiche. »Alice : « ... »Elle était confuse et s’est dit : « Est-ce que l’homme dont il parle est justement le Théo que je connais ? Le mari de Bella s'appelle aussi Théo, il est aussi avocat. » « Bella a dit que Théo gagnait à peu près le même montant qu'elle et que son mari était si arrogant et exigeant parce qu'il était l'ami de Gabriel. » « Oh mon Dieu, quelle coïncidence ! » « Ils vivent ensemble depuis plus de deux mois, pourtant Bella ne s'est aperçue de rien. »« Ne vous inquiétez pas, je vais le supplier », a dit Vincent.« Eh… » Alice fe
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 121
Alice s’est figée en regardant la poitrine de cet homme. Il a touché le menton d’Alice, il avait un sourire suave et charmant, « Zut, vous avez même appelé une femme ce soir, pas mal. »Le joli visage d’Alice s’est assombri, soupçonnant qu’elle était allée au mauvais endroit.Mais en entendant le son venant de l’intérieur, elle a quand même dit timidement : « Je cherche Théo est-il ici ? »L’homme s’est figé et s’est retourné vers la maison. « Théo, elle te cherche. C'est bizarre. Quand as-tu eu des problèmes à la ville de Baie ? »« Je suis l’amie de sa femme. » Alice a poussé la main de cet homme qui bloquait la porte et est entrée.Il y avait trois hommes assis à l’intérieur et tous avaient un air extraordinaire. Celui qui fumait a dit : « Marc, je t’ai demandé d’ouvrir la porte, pourquoi as-tu invité quelqu’un à entrer. »« Ce n’est de pas ma faute. » Marc Blanc s’est assis sur le siège vide, a pris une cigarette et l’a allumée. Puis, il a regardé Alice avec intérêt.Théo qui était
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