Chapitre 534

Dans le sous-sol du village Maureau.

La porte de fer était verrouillée et il y avait de nombreux tueurs entièrement armés à la porte.

Aurélie était attachée à une chaise et ne pouvait pas bouger. Elle était pâle et inquiétante, elle n’arrêtait pas de demander : « Charles, toi, ça va ? »

Charles était attaché fermement et ses jambes avaient été touchées par les balles. Bien qu’il puisse contrôler le flux de sang dans son corps et empêcher les saignements abondants, il avait quand même perdu beaucoup de sang.

Allongé sur le sol, il a dit : « Ça va. Je suis désolé, je ne peux sauver que Christine. »

Entre Aurélie et Christine, il avait choisi la dernière. Christine était une personne qui avait eu une vie misérable. Après que tout son corps a été brûlé et défiguré, elle avait souffert du mépris et de la moquerie. Elle avait vécu une vie assez dure, alors il avait eu pitié de Christine. Au début, il avait voulu donner à Christine une vie heureuse, mais il lui avait créé des problèmes. Il