Vivian a entendu quelque chose et leur a soudainement dit : « Attendez ! »Les deux employées se sont retournées : « Pouvons-nous vous aider ? ». Vivian s'est approchée avec un air sévère et leur a demandé : « De qui parliez-vous en évoquant la nouvelle créatrice de bijoux ? ».Elle a subitement eu un mauvais pressentiment. « Ah, il s'agissait de Zora ! »Le visage de Vivian s'est assombri brusquement. Elle a serré les poings. Elle n'aurait jamais pensé que cette peste d'Isabelle était impliquée ! Elle a immédiatement repensé à ce qu'Isabelle lui avait dit lorsqu'elle avait quitté Buccellati… Évidemment, elle était venue flirter avec Albert ! Vivian était déterminée à ne pas la laisser aller plus loin.Elle est rapidement arrivée au seizième étage et a repoussé Maloé sur son passage. Celui-ci était bouleversé : « Madame Leroy, que faites-vous ? » « Écarte-toi de mon chemin ! », l’a brusquement interrompu Vivian avant de se diriger droit vers le bureau d'Isabelle. Maloé était profond
Il avait une mauvaise impression de Vivian, percevant en elle une femme sans énergie ni force, incapable d’accomplir quoi que ce soit. Elle ne méritait pas Monsieur Brunerie. Si elle n’était pas la femme d’il y a six ans, il ne l’aurait jamais supportée jusqu’à présent.« Albert, Isabelle a prétendu que tu lui avais donné une nouvelle entreprise de bijoux, ce n’est pas vrai, n’est-ce pas ? » a-t-elle demandé.Les yeux d’Albert se sont assombris : « Tu n’étais pas heureuse lorsqu’elle travaillait chez Buccellati, et maintenant elle a quitté l’entreprise en te laissant ses parts, tu n’es toujours pas satisfaite ? »« Je… » Le front de Vivian était perlé de sueur froide. Elle pensait : « Isabelle a-t-elle dit la vérité ? Albert lui a-t-il offert une nouvelle entreprise de bijoux en échange de ses parts chez Buccellati ? Bon sang ! Si tel est le cas, il aurait été mieux qu’elle ne parte pas ! »« Albert, je pourrais offrir à Isabelle des actions de Buccellati. Peux-tu la faire revenir ? Ap
Aubéron est sorti de son bureau et a demandé : « Qu’est-ce qui ne va pas ? » Lorsque ses yeux se sont posés sur les deux enfants, il s’est figé. Giada s’est levée et s’est approchée de lui : « Aubéron, ce sont mon neveu et ma nièce, les enfants-stars que Soniac vient de signer. Je les ai amenés ici pour te les présenter. » Déotille s’est avancé en tenant la main de Poema, et tous les deux se sont inclinés : « Bonjour Monsieur ! »Aubéron les observait pour un moment, sentant au fond de lui que les deux enfants avaient un air familier. Il s’est accroupi pour se mettre à leur hauteur et a levé la main pour toucher la tête de Poema : « Comment vous appelez-vous ? » Elle a répondu avec un clin d’œil : « Je m’appelle Poema, et voici mon frère Déotille. » « Quand as-tu eu un neuve et une nièce ? » Aubéron a levé les yeux vers Giada, qui s’est grattée les joues et a souri : « Ce sont les enfants de ma meilleure amie, ils m’appellent marraine, donc bien sûr ce sont mon neuve et ma nièce. »
Les yeux d’Aubéron se sont posés sur le visage de Déotille et il n’a pu s’empêcher de dire : « Tu me rappelles quelqu’un, surtout ton visage en colère… » La phrase suivante se complétait dans son cœur : « … qui ressemble presque à celui d’Albert. » Giada était surprise : « Tu ne nous en veux pas ? »« Je trouve qu’ils sont très sympathiques. Puisqu’ils ont tous deux signé avec Soniac, j’ai une séance photo pour la couverture d’un magazine de mode, ils peuvent m’accompagner. »Dans le bureau de Michel Lagrange, l’agent d’Aubéron, regardait les deux petits et était très surpris : « Quoi ? Tu vas emmener ces deux enfants faire la couverture d’un magazine de mode ? » Il a acquiescé : « Oui, je suis sûr qu’ils sont prêts pour la caméra, cela pourrait être la cerise sur le gâteau de les avoir avec moi, n’est-ce pas ? » « Mais… » Michel s’est frotté le front : « Mais comment l’expliquer au patron ? » « Laisse-moi gérer cette affaire, je leur donnerai une réponse satisfaisante. »Michel n’a
« À propos de cela, Madame Robert ne connaîtrait-elle pas Madame Isabelle ? L’autre soir, vous m’avez demandé de ramener Madame Isabelle, elle semble vivre dans le quartier de villa côtier aussi, donc peut-être elle et ces deux enfants se connaissent… » Maloé spéculait encore sur ces questions lorsque Albert s’est levé brusquement et a quitté la pièce.Maloé s’est un peu figé et l’a suivi tout de suite : « Monsieur, où allez-vous ? »Dans son bureau du seizième étage, Isabelle se tenait devant la baie vitrée en parlant au téléphone : « Oncle Luxembourg, viens à l’entreprise demain. J’ai informé tous les anciens employés de Buccellati qui ont été licenciés. » Attendant que Victor réponde, Isabelle a souri : « Oui, ne t’inquiète pas, j’ai pris les dispositions nécessaires. »Une fois l’appel terminé, Isabelle a gardé le téléphone en main et a réfléchi : « Lorsqu’ils arriveront demain, il sera temps de songer à un nom pour sa marque de bijoux. » À peine s’était-elle retournée qu’elle a é
Elle avait toujours pensé que c’était simplement une coïncidence, mais il s’est avéré que l’homme de cette nuit-là, il y a six ans, c’était réellement lui ! Isabelle commençait à perdre son calme : « Il n’est pas étonnant que Cérise ait demandé à Déotille et Poema s’ils étaient mes enfants lorsqu’elle les a vus au restaurant, et il n’est pas étonnant que Vivian se soit méfiée de moi, de peur que je ne m’approche d’Albert. Je ne permettrai jamais à mes enfants de m’être enlevés par qui que ce soit ! »« Bang ! » Vivian a balayé les objets de la table jusqu’au sol et, lorsque Cérise est entrée dans la pièce et l’a vue en colère, elle a demandé : « Vivian, qu’est-ce qui te prend ? »« Maman, si nous ne faisons rien, Albert me sera arraché par cette garce ! » Cérise était si bouleversée qu’elle s’est avancée nerveusement : « Qu’est-ce qui se passe ? » Vivian a parlé à sa mère de la nouvelle entreprise de bijoux d’Isabelle, et son expression a changé en l’écoutant.« Cette fourbe d’Isabelle
Vivian pensait que ce que sa mère avait raison, mais elle-même ne pouvait pas attendre le moment où sa mère donnerait naissance à un garçon.Après tout, ces deux petits bâtards étaient très susceptibles d’être une menace pour elle. Elle devait enquêter sur leur identité et attendre l’occasion de les éradiquer !Dans le quartier de Villa Côtier« Maman, tu ne manges pas ? Pourquoi tu nous regardes manger tout le temps ? » Voyant qu’Isabelle ne bougeait pas ses baguettes et les regardait sans rien dire, Orphée a demandé avec méfiance en mordant ses baguettes.Poema et Déotillen ont trouvé également que quelque chose n’allait pas avec leur mère aujourd’hui !Isabelle a demandé à Poema et Déotillen : « Avez-vous tous les deux rencontré un certain oncle étrange ? » « Quel oncle étrange ? » Isabelle a baissé les cils et a froncé les sourcils : « Ce n’est rien. Si quelqu’un veut s’approcher de vous et vous demander quoi que ce soit, ignorez-le simplement. Les enfants sages ne parlent pas au
Et son père, l’ancien patriarche de la famille Brunerie, était un fan de Delphine au début. À force de l’aimer, il a dépensé beaucoup d’argent pour acheter le Soniac, alors il a enfin embrassé la beauté.L’ancien patriarche de la famille Brunerie, monsieur Gendron de la famille Gendron, et maintenant le père de l’acteur Aubéron Gendron, était également tombé amoureux de Delphine. Et cela avait longtemps fait l’objet de discussions à l’époque.« Monsieur Brunerie, Comment êtes-vous venu ici en personne ? » a demandé poliment le directeur Moreau du Soniac.« Le Soniac n’a-t-il pas signé les deux enfants ? Où sont-ils ? » Le directeur Moreau a été stupéfait et a répondu en souriant : « Après qu’ils aient fait la couverture d’un magazine de mode avec Aubéron, ils ont été approchés par des sociétés de promotion. » Albert a plissé les yeux : « De quelle société de promotion s’agit-il ? » Le directeur Moreau a répondu : « C’est un annonceur sous Visuel. » Après qu’Albert a appris que les