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Chapitre 64

Cérise, Vivian, c’étaient vous qui avez marché sur mon pied !

Dans le manoir Brunerie.

La voiture s’est roulée sur le chemin bordé de platanes verdoyants, on pouvait entrevoir la fontaine entourée de structures au milieu de la place ronde. Derrière la fontaine, se hissait un château de style roman.

« Albert, vous habitez seul dans le grand château ? »

Poema regardait le manoir luxueux, c’était beaucoup plus grand que chez elle !

Le regard d’Albert était doux, « Tu peux habiter ici si tu veux. »

Puis Albert s’est demandé : « C’est juste une question de temps. »

Déotille a détourné la tête, « On ne veut pas du tout y habiter. »

Albert n’a pas prononcé un mot, mais un sourire léger était sur sa bouche.

La voiture s’est garée devant la porte du manoir, le gestionnaire qui attendait à la porte s’est précipité à ouvrir le portier des sièges à l’arrière, quand il a vu les deux enfants, le gestionnaire s’est figé.

Les deux petits se sont descendus successivement de la voiture, le gestionnaire
Chapitre verrouillé
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