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Chapitre 131
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Mon Mari Puissant Chapitre 132
Il semblait qu’elle a pris un rendez-vous à minuit à Laurent en lui demandant de cette manière. Laurent a agité la main et a dit : « Pas besoin, je vais te voir demain. » En entendant cela, elle était un peu déçue et a dit doucement : « Bon, je t’attends. » Alors qu’il a raccroché, Margueritte est sortie de la salle de bain. Malgré un pyjama de style réservé, son galbe sexy ne pouvait pas être caché. Des cheveux longs mouillés se sont posés sur son épaule blanche, après une douche chaude, elle était plus charmante grâce à la rougeur de son visage délicat. Laurent a fixé ses yeux et l’a trouvée tellement ravissante. Elle avait la mine brûlante sous les regards de Laurent, Margueritte lui a jeté un regard appuyé et s’est forcée d’être calme : « Pourquoi tu ne dors pas encore ? » Laurent a ri : « Je t’attends pour expertiser l’épée. » En parlant, Laurent a sorti l’Épée de sang. Sous les lumières sombres, il y avait une aura sanglante et extraordinaire autour de l’Épée de sang, d
Mon Mari Puissant Chapitre 133
Le temps était un peu étrange dans la Cité Mer de l’Est, peut-être en raison de la mer, il faisait chaud dans la journée et froid dans la nuit. Il y avait toujours beaucoup de gens dans un endroit malgré la chaleur. Le pavillon des antiquités. Il y avait beaucoup d’échoppes à la porte du pavillon des antiquités. Les antiquités se sont vendues ici. Beaucoup d’amateurs se sont rassemblés ici pour trouver un trésor. Ils pouvaient vivre très bien en comptant sur un trésor qui n’a pas été trouvé par les autres. Les clients et les propriétaires ont tous rougi d’excitation dans la discussion devant les échoppes. Un bruit de moteur s’est fait entendre, Laurent a garé la voiture. Jetant un coup d’œil sur les échoppes, Laurent était sûr qu’il n’y avait pas de grand-chose et puis il est monté. En dessus du pavillon des antiquités, Ingrid a attendu longtemps. Voyant Laurent, Ingrid s’est approchée à hauts talons et a dit avec un sourire : « Pourquoi veux-tu lire des livres qui consignent des
Mon Mari Puissant Chapitre 134
Plusieurs heures plus tard. Laurent a emballé des dizaines de remèdes et essuyé la sueur de son front. « M. Laurent, tu es mon sauveur. » Prenant les remèdes donnés par Laurent, Jacques était tellement excité que ses yeux étaient remplis d’un flot de larmes. Par la suite, il a sorti une pièce en jade et a dit : « M. Laurent, il s’agit d’une pièce en jade propre au chef de la Voie céleste, c’est le signe du chef. J’étais trop pressé pour te la donner, garde-le bien. Présente-la au cas où tu rencontres des gens de la Voie céleste, ils vont te connaître. » Laurent a hoché la tête en la prenant, puis il a ri en tapotant les épaules de Jacques : « Dépêche-toi de sauver tes frères. » Jacques a hoché la tête et a quitté en toute hâte. Dès le départ de Jacques, Laurent ne pouvait s’empêcher d’ouvrir Les pilules magiques. Puisqu’il avait des matières premières, il voulait savoir quelle pilule pouvait être préparée en fleur bicolore ! Le soir, dans la famille Averie. Charlotte et Vivian
Mon Mari Puissant Chapitre 135
Il fallait acheter des vêtements tout exprès pour une excursion ? « Est-ce que je peux ne pas y aller ? » a dit Laurent. Puisque l’excursion a été organisée par la famille Blanc, Auguste devait y aller certainement. Laurent ne voulait pas le voir. Annie lui a jeté un coup d’œil : « Nous ne t’aurions pas emmené dans ce genre de réunion mondaine. Mais Charlotte est présidente de l’entreprise familiale, en tant que son mari, il faut que tu y ailles. » « D’accord. » a murmuré Laurent : « Je le sais, je vais acheter des vêtements. » « C’est bon », a dit Annie froidement, « Il vaut mieux acheter de bons vêtements, si tu n’as pas assez d’argent, demande à Charlotte. Ne fais pas honte à Charlotte. » Laurent n’a pas cessé de hocher la tête. Annie est partie après avoir recommandé à plusieurs reprises. Dès le départ d’Annie, Laurent était impatient de sortir Les Armes Antiques. La couverture de ce livre a été usée et c’était à peine voir l’écriture dessus. En plus, il y avait des trace
Mon Mari Puissant Chapitre 136
« T’es effronté, tu n’es pas ennuyé d’entendre que les autres t’appellent un bon à rien ? » Charlotte a rougi et a feint la colère sans perdre son charme. Une fois parlé, elle a expliqué : « Je suis désolée, je ne le fais pas exprès. » Laurent avait une expression de défi : « C’est pas grave, je me fiche des autres. Tu es ma femme, je ne me soucie de ce que tu penses. » Charlotte a souri et a tenu la main de Laurent pour acheter les vêtements. Il aurait voulu acheter un costume, mais à vrai dire, Laurent s’est habitué à porter des vêtements bon marché et n’aimait pas les costumes, c’était mal à l’aise en costume. Il voulait acheter des vêtements pas chers, mais Charlotte n’était pas d’accord, à la demande de Charlotte, Laurent a acheté deux tenues de sport haut de gamme. Les tenues semblaient bonnes, au moment où Laurent voulait payer, il a été arrêté par Charlotte. « Ces dernières années, je ne t’ai rien acheté, laisse-moi payer, tu m’as acheté des vêtements avant, tu t’en souvie
Mon Mari Puissant Chapitre 137
« Merde ? Pourquoi ris-tu ? » Connor était soudain furieux et a crié en pointant son doigt vers Laurent à ce moment-là. Il savait que cet homme était gendre qui vivait dans la famille de sa femme. Il ne s’est attendu pas à ce que Charlotte, déesse, épouse à ce rebut de la société ! Malgré un mariage purement nominal, Laurent ne l’a pas mérité ! Donc, Connard détestait Laurent, il était très furieux d’être moqué de Laurent : « Si tu continues à rire, je vais te déchirer en morceau. Allez, dis-moi pourquoi ris-tu ?» « C’est pas de grand-chose, c’est parce que tu as un bon prénom », a dit Laurent. Entendant les paroles de Laurent, beaucoup de gens ont répété son prénom mentalement. Connor, Connard ? Connard ? Hahahaha ! C’était merde amusant, hahaha ! Voyant que les gens autour ont retenu le rire, Connor ne pouvait se retenir de se précipiter. Charlotte l’a arrêté et a dit doucement : « M. Connor, ne te mis pas en colère. » « Ah bon, tu as raison. » Connor a ri à la place et voula
Mon Mari Puissant Chapitre 138
Margueritte lui a jeté un coup d’œil appuyé : « Je ne veux pas que mon plaisir soit gâché. Si tu continues de le faire, amuse-toi plus tard, ne me cherche pas. » « D’accord, d’accord, je suis d’accord », Auguste a dit doucement et lui a fait plaisir. Bien qu’il dise comme ainsi, il avait des yeux sournois en regardant Laurent. « Ce pauvre gendre, comment pourrait-il être qualifié pour l’excursion ? » « Je vais te faire honte plus tard ! » « Ha ha ha, vous attendez depuis longtemps ! » En ce moment, Marceau Blanc est venu et a tenu un microphone. Marceau, père d’Auguste, était chef de la famille Blanc ! C’était lui qui a organisé cette excursion. Devant tout le monde, Marceau s’est éclairci la voix et a vu autour de lui : « Tous les invités ici sont jeunes élites de toutes les grandes familles. Vous savez tous les règles de notre excursion, je n’ai pas besoin de dire trop. Je ne souligne qu’une chose, faites attention et faites attention, enfin, bonne excursion ! » Cela dit, Marc
Mon Mari Puissant Chapitre 139
Un pari d’un milliard d’euros, comment pourraient-ils demander à Charles ? C’était Charlotte qui était chef de la famille Averie. Même si la compétition de nage était un jeu, il ne s’agissait pas d’un jeu pour un milliard d’euros. La famille Averie irait être détruite en un clin d’œil si elle a perdu un milliard d’euros. Charles a ri et n’a rien dit. « Comment ? Vos Averie n’osent pas jouer ? » Auguste a ri : « Un jeu pour s’amuser, la famille Averie ne veulent pas jouer ? J’aurais pensé qu’il n’y a que Laurent, gendre de la famille Averie, qui est timoré. A ma grande surprise, personne de la famille Averie n’ose pas jouer, y compris Charles, hahaha ! » Entendant cela, Charles était impatient : « Comment serait-il possible que nous ne participions pas à ce jeu intéressant ? » Auguste a regardé Charles de haut, il était petit-fils aîné de la famille Averie ! Mais maintenant, c’était Charlotte qui a tout décidé pour l’entreprise de la famille Averie. En y pensant, Charles avait une
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