Chaque fois que Laurent donnait un coup à Rodolphe, les autres tremblaient ! Dans toute la villa, personne n'osait dire un mot ! Enfin, deux voitures de police se sont garées devant la villa. Margueritte, en costume, est descendue avec deux policiers. À la vue de cette situation, elle a froncé les sourcils. « Arrête ! » Un policier s'est avancé vers Laurent. Laurent s'est arrêté et levé, puis a relaxé ses poignets. À la vue de Laurent, Margueritte s'est dirigée vers lui. « Qui a téléphoné à la police ? » Un agent policier a sorti un cahier en regardant autour de lui. Charlotte a repris la conscience : « C'est... c'est moi. » « Madame, vous avez dit que quelqu'un battait votre mari. C'est lui, votre mari ? Ce monsieur renversé par terre ? » Il a pointé vers Rodolphe, blessé et gisant sur le sol, en demandant. « Non, non, ce n'est pas lui... » Elle a secoué la tête et s'est tourné vers Laurent : « C'est lui... » À ces mots, elle a baissé la
Mais Laurent était tout à fait différent. Il avait la pilule de ciel, et il est devenu un soldat en 2 en un tournemain. En y pensant, Margueritte a adouci le ton : « Alors, tu peux me la donner dans quelle condition ? » À ce moment-là, le costume ne pouvait pas cacher sa silhouette magnifique. Laurent a souri : « Alors, tu me donnes des compliments. Si je suis ravi, je te donne. Mais, attention, tu ne peux pas faire cela à contre-cœur. » Margueritte a tremblé. « Laurent ! J'en ai assez ! » « Je ne suis ni arrogante et ni servile, je ne supplie jamais les autres ! » Margueritte s'est mordu les lèvres et a conduit moins vite. Quelques secondes après, elle n'en pouvait plus : « Laurent, tu, tu es le plus bel homme que j'ai vu. Peux-tu me donner une pilule de ciel ? » Laurent s'est éclaté de rire, à dire vrai, une beauté privilégiée comme elle, au cas où elle deviendrait douce, personne ne pouvait résister à son charme. Même Laurent ne pouvait y rési
« Assieds-toi, Laurent. » Margueritte a négligé les regards des autres et s'est tourné vers lui. Laurent a voulu quitter, mais à la vue de sa sincérité, il s'est directement assis. « Margueritte, pourquoi êtes-vous devenus des amis ? » Auguste a repris la conscience et a interrogé. Margueritte a poussé un soupir en disant avec patience : « Auguste, peux-tu arrêter de juger les autres d'après des clichés ? Selon moi, tout le monde est égal. Laurent est le gendre des Averies, c'est vrai, mais je ne peux pas faire des amis avec lui ? Pourquoi ? » Auguste n'a rien répondu. Margueritte a secoué la tête et a sorti la pilule de ciel de son sac : « Auguste, tu ne peux pas franchir l’obstacle depuis longtemps, n'est-ce pas ? Cette pilule pourrait t'aider, et c'est Laurent qui me l'a donnée. » À ces mots, tout le monde a été émerveillé. Quelques hommes étaient aussi adeptes, mais ils n'étaient que débutants. Tout compte fait, ils étaient riches et leurs membre
« Ah bon ? Dans une compagnie, tant mieux. » Auguste a hoché la tête avec une expression exagérée. Et puis, les plats ont été servis à table. Tout à l'heure, Margueritte avait été fâchée, Auguste avait dû arrêter d'ironiser Laurent, mais il cherchait toujours des choses pour l'humilier. Les autres ont ironisé Laurent l'un après l'autre. Margueritte ne pouvait pas les arrêter. Ennuyeuse, elle est sortie sous le prétexte d'aller aux toilettes. Une fois vu sa copine sortir, Auguste s'est mis de nouveau l'ironiser. « Mec, si j'étais toi, je quitterais ici. Tu te trouves bien à l'aise ici ? Tu ne sais pas où sommes-nous ? Nous sommes dans la Tour Perle, l'hôtel le plus luxueux de toute la ville. Tu n'as pas honte d'être ici ? » Les autres ont frappé la table, voire leurs copines ont regardé Laurent avec ironie. « Oui. Nous ne voulons pas simplement que tu perdes la face devant Margueritte. Penses-tu véritablement que tu peux faire des amis avec nous ? » « Va-
Auguste s'est levé avec confiance : « Monsieur Faure, je suis content de vous voir... » N'ayant pas encore terminé sa parole, il a été figé. Car Pierre ne le regardait pas, mais il s'est dirigé directement vers Laurent. « Monsieur, je suis à votre disposition. » « Quoi ? » « Monsieur ? » « Pierre Faure a dit "Monsieur" à ce gendre des Averies ? » À cet instant, tout a eu la bouche bée ! Même Auguste a été stupéfait ! « Impossible ! » « Ce bon à rien a fait des amis avec un monsieur comme Pierre Faure ? » À ce moment-là, Laurent a souri et a hoché la tête vers lui : « Mon ami, je veux simplement de te voir. » Pierre a souri respectueusement : « Vous êtes très gentil, monsieur. » Et puis, il a regardé autour des personnes dans le salon et s'est rendu compte de quelque chose : « Monsieur, vous auriez dû m'informer avant de manger ici. C'est mon honneur. » Il a fait un signe au serveur guettant à la porte : « Dites à votre directeur,
Laurent a souri : « Je me sens mal à l'aise ici. En plus, je n'ai pas faim. » Margueritte était regrettée : « Pardon, Laurent, ils sont toujours comme ça, ne te mets pas en colère... » Laurent a élevé les épaules : « De rien, j'ai rencontré trop de personnes comme eux. » Et puis, il s'est tourné vers elle avec hésitation : « Mais toi, tu penses qu'il est ton élu de cœur ? » Il n'aurait pas dû s’en mêler dans leur relation, mais, il a dit directement sa pensée. Margueritte n'a pas répondu avec un air complexe et gêné. En effet, elle ne détestait pas Auguste, mais elle ne l'aimait pas encore. Seulement car ils se sont rencontrés depuis longtemps en raison de la famille, et leurs membres familiaux ont propulsé leur relation, elle s'est mise d'accord à devenir sa copine. Mais elle était sûre qu'il ne touchait que ses mains devant le mariage. Elle a dit : « Je t'accompagne, Laurent. Tout compte fait, je t'ai amené ici, je ne peux pas te laisser rentrer en taxi. »
Margueritte, retenant la panique, a fixé intensément le jeune homme assis en face d'elle et a demandé : « Qui diable êtes-vous ? Où nous emmenez-vous ? »Ce jeune homme était, de toute évidence, le chef de ce groupe d'hommes forts. Il avait l'air un peu diabolique.Il s’est retourné avec un regard diabolique et a dit en souriant : « Capitaine Raymond, comme vous avez arrêté tant de mes hommes, je vais lasser tomber ? »« Vous… vous êtes de la Voie Céleste ? » s’est écrié Margueritte qui a tremblé en comprenant instantanément ce qui se passait. « La Voie Céleste ? » En entendant ces trois mots, Auguste, avec la bouche pleine de sang, était également abasourdi et effaré.Sur le côté, Laurent a froncé les sourcils et s’est demandé : « La Voie Céleste« De quel genre de force s’agit-il ?« Comment se fait-il que je n'en aie jamais entendu parler avant ? »« Bien digne d’une capitaine de la police, vous l’avez compris tout de suite. Pas mal. » Au moment où Laurant réfléchissait, le jeune
En regardant la réaction de Auguste, Margueritte était sans voix et a secoué la tête.Jacques a ri, avec un peu d'espièglerie dans les yeux, « Capitaine Raymond, vous plaisantez avec moi ? J’ai gaspillé tant d'efforts pour vous capturer tous les trois, et vous me demandez de vous laisser partir ? »Cela dit, Jacques a jeté un coup d'œil à Auguste : « Je vous connais, un célèbre garçon issu de la famille riche de la ville Mer de l’Est, Auguste, n'est-ce pas ? ».Auguste a hoché la tête sans cesse et a dit flatteusement : « Si, si, tant que vous me permettez de partir, je vous donnerai autant d'argent que vous voulez. »Jacques a dit avec un sourire furtif : « Vous avez tellement peur de la mort, hein ? J'ai entendu dire que vous vous êtes fiancé avec Capitaine Raymond, non ? En tant qu'homme, ne voulez-vous pas sauver votre fiancée ? »Auguste a ouvert la bouche pour dire quelque chose, mais il a ravalé sa salive de peur.Jacques a ri légèrement, ne faisant plus attention à lui, et a dé