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Chapitre 115

Les domestiques dans la salle s'inclinaient respectueusement devant Chrétien Boyer et ils ont quitté la villa avec ordre.

Chrétien n'a prêté aucune attention à leurs mouvements et monté précipitamment les escaliers. Il est arrivé devant la porte de la chambre d'Estelle Fritz et a tenté d'ouvrir la porte, mais sans résultat.

La porte était verrouillée de l'intérieur.

Chrétien était un peu inquiet. « Stella, ouvre la porte, s'il te plaît. J'ai vraiment tort. Ne sois pas en colère contre moi. »

Il n'y avait toujours aucune réponse de l'intérieur.

Chrétien était désespéré. Il n'était vraiment pas doué pour apaiser une fille.

« Stella, si tu es vraiment en colère contre moi, tu peux me frapper. Je suis désolé, pardonne-moi ! »

Une voix sourde de femme s'est fait entendre de la chambre : « Tu as eu tort sur quoi ? Pourquoi te frapperais-je ? »

Cela lui a fait de la peine. Elle lui a répondu, c'était déjà un bon signe. Le pire serait qu'Estelle l'ignorait complètement.

Chrétien disait douceme
Chapitre verrouillé
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