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Chapitre 85
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Mon mari, milliardaire Chapitre 86
Ces derniers temps, il sortait tous les jours pour chercher de la nourriture.Tôt ce matin, il sirotait tranquillement son thé chez lui, et n'avait même pas commencé à savourer son repas, lorsque la porte s'est ouverte en claquant.Le visiteur était manifestement sous le coup de la colère.Charles a posé ses couverts et n'a pas fait plus de quelques pas d’apercevoir Maxime en colère.« Qu'est-ce qu'il y a ? Une autre dispute avec Mlle Dubois ? »Maxime lui a jeté un regard en coin, les lèvres pincées.Charles s’est regardé de haut en bas : « Est-ce que je t'ai vexé ? »« Ce n’est pas vrai. Quand t'ai-je offensé ? »Maxime a plissé les yeux et n'a rien dit.Charles était vraiment impuissant et lui a apporté un plat de spaghettis : « Il n’y a rien qu'un plat de spaghettis ne puisse arranger, s'il y a encore des problèmes, il suffit d'en prendre un autre. »Maxime a réprimé sa colère : « Charles ».Charles a compris que quelque chose n'allait pas et a retiré son sourire enjoué.« Qu'est-c
Mon mari, milliardaire Chapitre 87
Après plus d’une heure d’attente, Charles a enfin appris de Maxime que Léa et lui étaient en froid.Charles s’est gratté la tête : « … Tu lui as donné la bague ? »Maxime l’a regardé froidement : « Comment pourrais-je la lui donner dans cette situation ? »Charles s’est assis sur le canapé : « C’est un peu bizarre, tu as fait quelque chose qui l’a contrariée l’autre soir quand elle est allée te voir ? »Maxime essayait de se souvenir : « Non ».Léa lui avait même apporté de la nourriture ce jour-là.« C’est difficile, l’esprit des femmes est difficile à deviner. » Charles a froncé tristement les sourcils, bien qu’il ait eu quelques copines, aucune n’était une relation sérieuse.Il n’a pas non plus beaucoup d’expérience en matière de relations amoureuses sérieuses.Maxime a baissé les yeux : « Ce n’est pas toi qui m’as dit que je pouvais la draguer et être avec elle en un mois ? »Charles : « Oui, ne te précipite pas. Je t’aiderai à trouver des solutions. »Les lèvres minces de Maxime s
Mon mari, milliardaire Chapitre 88
La policière chargée du constat a jeté un coup d'œil à Léa, assise sur le canapé, manipulant silencieusement son ordinateur portable.Les deux filles se sont battues et présentaient des blessures plus ou moins graves au visage et sur le corps.Mais en réalité, Siena était un désastre comparé aux quelques égratignures indolores sur le visage de Léa.Elle avait plusieurs coupures sur le visage et les mains, et même ses vêtements étaient déchirés. Elle avait l'air terriblement mal en point.Cela ressemblait vraiment à la scène décrite par Siena selon laquelle elle avait été battue par Léa battant.A ce moment-là, les officiers de police chargé de prendre des photos et d'enregistrer les dégâts causés à la maison ont terminé enfin leur tâche et se sont dirigés vers Léa : « Veuillez venir avec nous au poste de police pour des raison d'enquête. »Léa a regardé péniblement son ordinateur : « D’accord. »Les deux filles étaient ramenées au poste de police.Léa était mise en salle d’attente.C'e
Mon mari, milliardaire Chapitre 89
Léa a suivi Maître Muller d'un air hébété.Maître Muller, qui marchait tranquillement, les mains dans les poches, a demandé à Léa : « Quel est le résultat que vous souhaitez ? »Léa a réfléchi sérieusement pendant quelques minutes : « Quel est le résultat le plus grave dans une affaire comme celle-ci ? »Maître Muller a haussé un sourcil et regardé Léa avec un peu d'admiration dans les yeux.Il ne s'attendait pas à ce que Mlle Dubois, dont on disait qu'elle ne courait qu'après M. Robert, se révèle être une dure à cuire.« Détruire la maison et provoquer en premier lieu, si le jugement est maintenu, elle pourrait être enfermée pour une dizaine de jours. »Léa a souri légèrement : « Avec votre capacité, on peut faire mieux que ça, non ? »Maître Muller a souri et ne lui a pas répondu.Léa s’est redressée : « J'ai une dernière question. »« Allez-y. »« Qui vous a engagé ? »Maître Muller regardait Léa dans les yeux : « Je ne peux pas vous le dire. »Avant qu'il ne vienne, cet homme l'ava
Mon mari, milliardaire Chapitre 90
Léa s'est approchée de lui : « As-tu besoin d’aide ? »« Non », l'opération de Maxime était peu habile, on aurait dit qu'il cuisinait pour la première fois.La tablette sur la cuisinière jouait le processus de cuisson encore et encore.« C’est la première fois ? » Léa était un peu surprise.Maxime : « Oui. »« C’est difficile à dire. »Bien que l'opération ne soit pas habile, il l'a faite de manière méthodique et décente. Maxime versait de la viande dans deux assiettes.Léa a apporté l'assiette à la table et s'est assise en face de Maxime.« Goûte-le. »Léa lui a répondu et a pris les couverts et a goûté un morceau de viande.En le goûtant, elle a souri : « L'apparence est médiocre, la saveur est bonne, tu es très talentueux. »Les mains de Maxime tenant les couverts s'arrêtaient et un sourire apparaissait sur son visage.Les deux n’ont pas mentionné ce qui s’était passé au poste de police, mais Léa avait déjà compris que Maître Muller avait été invité par lui. Ce célèbre avocat n’a
Mon mari, milliardaire Chapitre 91
Léa a porté sa serviette de bain. Après avoir hésité un instant, elle est sortie de la salle de bains. Maxime, torse nu, a cherché une chemise. Ses pectoraux et abdominaux étaient saillants. Avec ses belles épaules, il était vraiment très beau. Léa a avancé pas à pas et a baissé la tête devant Maxime : « Je t’aide. »En haussant les sourcils et voyant l’air timide de la femme, Maxime a dit d’une voix rauque : « D’accord. » Il pensait qu’elle était très mignonne. Ensuite, il lui a passé sa chemise. Léa baissait toujours la tête car elle n’osait pas du tout regarder Maxime. Elle n’était plus bien dans la tête et ne savait pas quoi dire. Les manches sont facilement passées sur les bras de l’homme. Quand elle allait boutonner sa chemise, elle avait besoin de se hisser sur la pointe des pieds. À ce moment-là, Maxime s’est légèrement penché. La bouche de la femme a tout à coup embrassé le menton de l’homme. Léa est restée immobile, la tête vide. Ensuite, elle a été jetée sur le lit. L’h
Mon mari, milliardaire Chapitre 92
La veille, Léa n’était pas venue livrer son repas, alors, Louis était un peu inquiet. Aujourd’hui, quand il a trouvé qu’elle l’a appelé. Sans penser à rien, il a répondu. Il n’était jamais aussi rapide, ce qui a poussé Léa à s’en étonner. « Pourquoi tu ne viens toujours pas ? »Léa a froncé les sourcils. Elle avait voulu chercher un prétexte, mais elle a directement dit d’un ton ironique : « Vous êtes vraiment un couple. L’une veut me foutre en prison, l’autre veut me considérer comme une esclave. Je ne pourrai plus te faire de petits plats ! » Elle était très fâchée. Même si Pascal le lui demandait, elle ne pourrait plus prendre soin de Louis. Même au téléphone, Louis avait l’impression que Léa était en colère. Il a posé le portable sur la table d’un air perplexe. Il comprenait naturellement qu’elle avait parlé de Siena. Ensuite, il s’est rappelé que Siena l’avait appelé et lui avait demandé d’envoyer Dominique pour l’aider car on l’avait malmenée. Tout à coup, il a eu un mauvais pr
Mon mari, milliardaire Chapitre 93
Après avoir appelé Louis, Léa est allée au commissariat pour rapporter son ordinateur. Le policier lui a dit : « L’ordinateur a été complètement détruit. C’est impossible de le réparer. »Léa a froncé les sourcils. Avant la date limite du concours, il ne restait que moins d’une semaine. Même si elle dessinait de nouveau sa conception, il était trop tard.Après avoir réfléchi un instant, elle a décidé d’aller à la boutique responsable de la réparation de l’ordinateur dans le centre-ville. Quand elle est arrivée à la boutique, le personnel a jeté un coup d’œil sur son ordinateur et a dit : « Il est complètement détruit. Achetez-en un nouveau. »D’un air déçu, Léa est sortie de la boutique. Quand elle a marché dans la rue, elle a entendu que l’appelait : « Léa ! » Elle s’est retournée et a vu Charles agiter la main au bord de la rue. « Charles, pourquoi êtes-vous ici ? » Léa a marché vers lui d’un air étonné.« J’ai entendu dire qu’il y avait un restaurant italien près d’ici. » Charles
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