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Chapitre 136
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Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 137
« Mademoiselle Blanc m’a parlé de votre problème. C’est pas grave. Je vous aiderai par un coup de téléphone. » A dit Jérome d’un air énigmatique. Il s’est écrié après avoir examiné Christina des pieds à la tête pour un instant: « On me dit que mademoiselle Royer est la Vénus de la ville de N, laquelle appartient uniquement à l’Olympie, au lieu du bas monde ! Je n’y crois pas beaucoup. Mais aujourd’hui, je la trouve encore plus ravissante que sa réputation ! Malheureusement, elle est déjà mariée, autrement je la poursuivrai ! »Jérome était d’un caractère autoritaire. Tout en parlant, il a jeté ses regards agressifs sur Christina, ce qui a rendu cette dernière un peu embarrassée. Mais Christina devait faire connaissance des supérieurs de la Société Boucher avec son aide. Elle n’osait rien dire.« Vous avez tort, Monsieur Sanchez. Ma Christy est mariée, oui, mais le mariage est purement formel ! Son époux matrilocal bon à rien ne lui touche pas la main depuis trois ans. D’ailleurs, madam
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 138
Louis n’a pas fait attention au regard de Sandra. Il s’est approché de Christina, en la fixant avec intensité.« Lou..Louis ? »À ce moment-là, Christina a discerné Louis finalement. Sa figure mince a légèrement frissonné. Elle était tant surprise que gênée. Évidemment, elle ne se doutait pas qu’elle tombe sur Louis à cette occasion.« Louis, t’es franchement fort. Tu ne rentres pas ces jours-là et tu pousses encore plus loin ! Tu te rends à cet endroit par le moyen d’une femme ! D’après moi, tu es bien compétent sur la dépendance des femmes. On dirait le roi des parasites ! » Sandra s’est mise à parler précipitamment. Elle a regardé Louis d’un air provocant.Louis a répondu tranquillement : « Natalie que tu as vue est mon ancienne copine d’école. Christina la connaît. »« Copine d’école ? » Sandra a poussé un ricanement : « Un copain d’école s’installerait au siège du co-conducteur ? Eh bien, tu me dis comment tu y es entré ? C’est pas que ta copine d’école te donne une lettre d’invit
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 139
« August ? » Christina a été surprise. Elle n’avait pas pensé à rencontrer August à cet endroit.Sandra lui a aussi dit en souriant : « Quel hasard, Augusty ! Comment t’es venu de même ? »Sandra connaissait plus ou moins de détails sur August. La famille Riviere n’était qu’une famille de troisième ordre. Elle n’aurait pas été invitée a priori à la vente aux enchères organisée par la Cime de Nuage Même Christina et elle y avaient été admises grâce à Jérome. Donc, elle était vraiment curieuse qu’August puisse y entrer.August a répondu en souriant : « J’ai de la chance et j’ai gagné un peu d’argent ces derniers jours. J’y viens avec une lettre d’invitation. »Après avoir achevé, August sentait un peu de nausée. Néanmoins, la vieille femme était généreuse avec lui. Non seulement elle l’avait fait assister à cette vente aux enchères tenue à la Cime de Nuage, mais en plus elle lui avait offert une carte bancaire, avec laquelle, il pourrait payer à son gré.Lorsqu’August parlait, il a posé
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 140
Au lieu de s’adresser à elle, Louis a dit en souriant : « Je vais vous décevoir. J’ai la lettre d’invitation. »« Ah ah ah ! Mec, tu deviens de plus en plus drôle. » Jérome a indiqué Louis du doigt, disant : « J’ai vu beaucoup de vantards, mais c’est rare qu’ils fassent à tel point comme toi ! Alors, si tu sortais la lettre d’invitation, je m’en irais sans dire un mot. »« Toutefois, si tu ne pouvais pas, tu fiches le camp. Tu oses parier ? »Lorsqu’il parlait, Jérome montrait une courbe aux lèvres, disant : « Mec, à vrai dire, si j’étais toi, je m’éloignerais maintenant, afin de ne pas humilier mon épouse. »August a dit en souriant : « Monsieur Sanchez, vous avez oublié une chose. Un gendre matrilocal ne se soucie ni de la dignité, ni de la honte. Il les jette au-delà du ciel depuis longtemps ! »Louis a poussé un ricanement, disant : « D’accord, je le parie avec toi. Je vais voir c’est toi ou moi qui dois partir tout à l’heure. »Il a fouillé dans sa poche en parlant. Mais un moment
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 141
À l’autre bout de la ligne, Natalie a répondu d’un ton résigné : « Nous venons d’y entrer, mais monsieur Boucher est chassé par le serveur. Je ne sais pas pourquoi et je le cherche à l’extérieur... »Natalie ne savait pas quoi faire. Elle ne s’était pas approchée de Louis et elle avait vu Louis être expulsé.« Ah bon ? Qu’est-ce ces gens ont fait ? » Henri était ahuri, puis il a repris : « Alors, vous dites à Monsieur Boucher de patienter un instant. Je vous cherche tout de suite. Vous attendez un peu... »Après avoir raccroché, Henri s’est précipité dans la salle.« Monsieur Robert, je suis... » Jérome, à la vue d’Henri qui s’est rué, a tapé ses vêtements et a cligné les yeux vers Christina. Il s’est approché d’Henri avec un air déterminé afin de le saluer.Cependant, Henri ne lui a pas lancé un regard. Il est passé par lui en galopant..La main tendue par Jérome était suspendue dans l’air. Il était un peu gêné.Derrière lui, Sandra a réagi rapidement, disant : « C’est monsieur Robert
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 142
En même temps, toute sa personne a légèrement frissonné. Cette femme n’était pas au fait la maîtresse d’Henri Robert ? Si c’était comme ça, cet homme qui dépendait des femmes...À cet instant, le serveur avait la mine où des actes se déroulaient. Il était sur le point de les annoncer. Louis n’était pas pressé. Le Jérome Sanchez a dit qu’il fréquentait les supérieurs de la Société d’investissement Boucher, sous prétexte de quoi il aborde Christina. Mais c’était essentiel que ça ne fasse rien, que ce soit le supérieur qu’il connaissait.Voyant le serveur venir, il lui a dit avec indifférence : « Vous n’avez pas dit qu’il était impossible d’assister à la vente aux enchères sans lettre d’invitation ? Pourquoi vous m’invitez à y rentrer ? Vous me prenez pour qui ? »Le serveur a craché des injures les plus terribles dans le coeur : « Fils de pute ! Vous n’êtes qu’un homme qui dépend des femmes, non, encore pire, vous êtes l’amant d’une maîtresse impudente ! Et vous vous prévalez ici ! Si c
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 143
Une telle beauté de glace avait un tempérament excellent. Son sourire la faisait plus charmante que tout !Ayant jeté un coup d’oeil à Henri, Florence a posé ses yeux spontanément sur Louis. Elle se sentait légèrement confuse.Tenant compte de la position sociale d’Henri, pourquoi un homme qui avait l’air si pauvre et misérable se tenait à côté de lui ? Toutefois, Florence connaissait bien les bonnes manières et elle n’en a pas parlé à ce moment-là. Jérome et Christina étaient déjà entrés dans la salle. August était encore dans le hall. Il était séduit par la beauté de Florence et il a lancé ses regards à sa direction. Il a poussé un ricanement une seconde plus tard, disant : « Hélas, ce n’est pas le gendre matrilocal de la famille Royer ? On ne vient pas de l’expulser ? Comment il s’infiltre ici de nouveau ? »En prononçant ces mots, August s’est approché vers eux. Il s’est mis à parler avec de l’allure : « Monsieur Robert et cette mademoiselle, celui-ci est bien connu dans notre vil
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 144
August a dit froidement : « Ça ne vaut pas la peine que tu me remercies, parce que je vais le dire à la famille Royer, même si tu t’en allais maintenant. Les Royer ont nourri un voleur qui me salit les yeux. Il faudrait que la famille Royer me donne une explication. »« Bien sûr, je peux t’accorder une chance. Je t’épargnerai, à condition que tu t’agenouilles devant moi. D’accord ? »Louis lui a adressé un sourire délicat, sans parler.Bien que Louis ne réponde pas, Henri, qui était à côté, n’a pas pu se retenir : « Monsieur Riviere, vous êtes fou ? »Henri avait souhaité nouer des relations avec Louis, mais il n’avait pas trouvé d’occasion. Il avait invité Louis à la vente aux enchères organisée par la Cime de Nuage afin de présenter simplement ses excuses.Étant donné que Louis préférait la discrétion, Henri restait toujours en spectateur. Néanmoins, on l’avait appelé « connard », il n’en pouvait plus.« Monsieur Robert, l’existence de ce gendre matrilocal ne salirait pas mes yeux ?
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