Or, à peine s’est-il approché de Louis que Téo lui a pris par les cheveux.Paf ! Paf ! Paf !Plusieurs claques ont été imprévisiblement lancées sur le visage de Luc, tour à tour par les deux mains de Téo. En un clin d’oeil, la figure de Luc a été gonflée comme la tête de cochon.Luc était pétrifié : « Frère Téo, je voudrais que tu corrige ce bon à rien... Pourquoi tu... »En plus de Luc, tout le monde sur place était brouillé. On ignorait complètement ce qui s’était passé. Comment tout ça ?« Toi, tu te cherches des soucis et tu veux m’entraîner dedans. Je te rends invalide aujourd’hui... » Téo a donné un coup de pied à Luc, qui a volé plusieurs mètres dans l’air. Puis Téo a ordonné cruellement à ses hommes: « Corrigez-le ! A fond... »A l’origine, les hommes qui étaient venus avec Téo se sentaient un peu confus. Mais l’esprit leur est revenu rapidement. Etant donné que le chef a donné l’ordre, à quoi bon se croiser les bras ?Allons-y !Une seconde plus tard, Luc a reçu des coups de
On avait la berlue ou on rêvait ?Frère Téo, leader incontestable des bandes, était tellement humble envers un propre-à-rien, un gendre matrilocal, comme s’il s’agissait de son propre père ?Comment ce propre-à-rien en était capable ?Beaucoup n’ont pas pu s’empêcher de se pincer dans le corps. On était en train de songer, oui, il n’y avait pas d’autre explication !Christina, elle aussi, était éberluée. Son inquiétude précédente s’est transformée en étonnement exhaustif. Comment ça pouvait arriver ?Téo, tout en ignorant l’attitude des Royer, était sur le point de s’agenouiller. Il a murmuré : « Je n’ai pas su que c’était vous, faute de quoi je n’y serais pas venu, même si on m’avait battu à mort... Veuillez ne pas m’en vouloir, s’il vous plaît... »« Assez ! », a dit Louis glacialement, en fronçant les sourcils : « Des années passées et il faudrait que vous vous présentiez pour un rien ? Vous n’avez véritablement pas fait de progrès ! »« Si ce n’est pas que ce bon à rien m’aide régu
Téo a souffleté Luc de nouveau. Il a interrogé sèchement : « Tu ne te rends pas compte de pourquoi ? Louis Boucher, c’est qui ? Tu t’avises de l’offenser ? »« Lui, n’est-il pas simplement un gendre matrilocal de la famille Royer, un bon à rien ? »Luc était actuellement rongé de regrets. Celui qui était fait venir par lui-même l’a bourré en revanche, et à cause de Louis, ce propre-à-rien ? Ça ne se disait pas !« Gendre matrilocal ? » , a demandé Téo avec persiflage. Il a failli déclarer le statut réel de Louis. Mais Il a remarqué juste à point que Louis lui a lancé un regard discrètement.Il a éprouvé un tressaillement instinctif puis il a injurié : « Dis-moi, est-ce que t’es ruiné ? Les cinq millions d’euros que je t’ai confiés sont-ils partis ? »A ses mots, les Royer, qui avaient hésité à s'entremettre dans la bagarre, ont tourné leurs yeux, surout M. Royer, qui a changé délicatement de visage.Il a fait quelques pas en avant, dans un état à peu près inconscient, demandant : « Frè
« Monsieur Dubois, Veuillez nous expliquer. J’ai fait vérifier votre chèque tout à l’heure. Il est sans provision. » En ce moment, M. Royer est sorti de l’intérieur après avoir raccroché. Il a jeté d’un geste le chèque au visage de Luc, ayant la mine extrêmement rigide. Il avait pensé qu’il avait bien obtenu les dix millions d’euros de liquidités. Toutefois, les mots de Téo l’avaient réveillé. Il a expéditivement confié à quelqu’un pour s'enquérir et il a su la vérité.M. Royer en voulait excessivement à Luc maintenant, car le prestige lui disait le plus pour toute sa vie. Et Luc, homme qu’il avait choisi comme futur beau-petit-fils, était un misérable. Cela lui perdait gravement la face...Luc, en s’essuyant le visage couvert de sang, a dit avec un rictus : « M. Royer, n’oubliez pas que je travaille pour la Société d’investissement Boucher. Je reviendrais rapidement à la charge même si j’étais ruiné... »A ses mots, M. Royer a froncé les sourcils inconsciemment. Luc était en train de
Apercevant Christina dont le visage mince était tout pâle d’effroi, Louis a été épris par une colère terrible.Au lieu de s’adresser à Marie, il est allé vers Luc et lui a dit d’un ton calme : « Luc, c’est moi qui vous ai frappé. Pourquoi embarrasser une femme ? Lâchez mon épouse, j’y vais avec vous. »Christina a tressailli des pieds à la tête, contemplant Louis d’un regard étrange.Il fallait dire qu’on avait vachement peur de la police. Elle n’a pas imaginé que Louis avait le courage de se proposer d’y aller .« Sois tranquille, tu es ma femme, je vais te protéger. » Louis lui a souri doucement et s’est arrêté devant l’inspecteur Martin : « C’est moi qui l’a battu. J’avoue tout ça. »Christina avait les yeux imperceptiblement mouillées. Cet homme-là, bien qu’il ne fasse pas de progrès, qu’il soit bon à rien, aurait volontiers avoué le crime pour la sauver.« Tu vas bien, Christina ? » Marie s’est précipitée tout inquiète vers Christina, examinant sa fille du haut en bas.« Je vais b
En achevant ces mots, Louis a jeté son portable à l’inspecteur Martin.L’inspecteur Martin l’a pris avec un air de doute. Mais il a changé de visage dans une seconde : « Madame Masson, c’est vous ! Oui, oui, c’est ma faute, ma faute ! »« Monsieur le président Boucher, j’ai manqué de discernement, veuillez bien m’excuser. »Ayant raccroché, il a fait une inclination à Louis avec tant de respect, puis il s’en est enfui avec ses hommes.Sans blague ! C’était quelqu’un qu’il ne se risquait jamais à provoquer !« Mon... monsieur le président Boucher ? » La parole de l’inspecteur Martin a rendu Luc tremblé tout le corps. Il était épris par des vagues d’aveuglement à ce moment-là.Il s’est écroulé par terre, murmurant : « Comment ça possible ? Toi, un bon à rien, tu serais le nouveau président ? C’est pas possible ! Pas possible ! »« C’est pas possible ! Tous les membres de la famille Boucher jouissent d’une grande réputation. Tu ne serais pas... »Luc secouait la tête sans cesse. Il était
« J'ai peur que ce ne soit pas si facile... » Pascal a froncé légèrement les sourcils. Si c'était facile, ils ne compteraient pas sur Luc auparavant.M. Royer a frappé sur la table et a dit : « Si quelqu'un peut obtenir ces fonds, il sera le directeur du projet du centre commercial ! »Le projet de centre d'affaires était actuellement le plus grand et le plus important projet de la famille Royer !S'il pouvait devenir le chef de projet, il pourrait peut-être devenir le chef de la famille Royer à l'avenir !Quand M. Royer a dit cela, l'expression des autres a changé.Cependant, il était trop difficile pour tout le monde d'entrer en contact avec la Société d'investissement de la famille Boucher...« Grand-père », Jacques s’est levé soudainement, « j'ai récemment rencontré une belle femme qui est la directrice de la Société d'investissement de la famille Boucher, elle devrait avoir une haute position dans cette entreprise, et je lui inviterai de sortir pour en discuter un peu... »M. Roye
« Oui, mais je le connais juste, je ne sais pas pourquoi il m'a appelé tout d'un coup», a déclaré Amanda avec prudence, couvrant le microphone du téléphone.Louis a souri : « Alors il rêve. » « D’accord ! » Amanda a attrapé son téléphone, est sortie du bureau et a dit froidement : « Notre président vous a dit d'abandonner ce projet ! » Puis elle a raccroché le téléphone brusquement, ce Jacques était tout simplement un imbécile !...De l'autre côté du téléphone, Jacques est soudainement devenu raide, et au bout d'un moment, il a presque sauté de grande colère : « Une petite directrice ose me mépriser ? ! Pour qui elle se prend ? Et laissez-moi lui donner une leçon ! Merde, c'est une honte pour notre famille ! » La famille Royer s'est regardée avec consternation, Jacques a-t-il entendu clairement ?Ce que l’autre côté a dit, c'était à l’ordonnance de son président !« Grand-père, cette société est trop hautain ! » Jacques a serré les dents, « ils osent nous traiter comme ça, ils nous