Incroyable mais vrai ! Un accident qui n’était pas grave permettait de plaire aux yeux. D’ailleurs, les deux belles étaient de styles différents. Si on avait la chance de passer une nuit avec l’une ou l’autre, on y consacrerait volontiers quelques années d’espérance de vie !L’une avait l’air pur et innocent, qui rappelait aux hommes leur premier amour, naïf mais sincère, de la jeunesse ! L’autre paraissait sage et douce, du genre que les hommes voyaient souvent en rêve !Lorsque tout le monde rêvait en plein jour, Louis a été pris par stupeur. Il a demandé inconsciemment : « C’est Stéphanie ? »C’était une connaissance de Louis, cette belle descendant de la voiture. C’était sa voisine dans la classe à l’époque où il faisait ses études à l’université, Stéphanie Denis ! Pendant la soirée des anciens copains d’université de Louis, celle-ci l’avait défendu. C’était une coïncidence qu’ils se rencontrent à cet endroit !Comment by Service communication: Sa camarade de classeMais plus que ç
Louis a souri : « Stéphanie, tu es comme avant, quand nous étions à l’université ! Tu raisonnais toujours avec moi ! »« Sois sérieux ! À la dernière soirée, les anciens copains d’université n’étaient pas contents de toi. Trouve-toi un emploi et ne mène pas une vie oisive tous les jours », Stéphanie a conseillé Louis avec zèle et avec la meilleure foi du monde, « tu te trouves content ? Afin de gagner quelques sous, tu travailles comme complice du marchand de vin ! Il vaudrait mieux que tu travailles comme gardien honnêtement. »Stéphanie était véritablement gentille avec Louis. Elle prenait soin de lui, même dans cette situation !Louis, tout comme avant, a pincé doucement Stéphanie au visage, disant : « À vrai dire, je regrette de ne pas avoir suivi tes conseils. Je n’ai pas bien travaillé, mais je vais pas mal maintenant. »Bien qu’il soit gendre matrilocal depuis trois ans, il était en effet le président de la Société Boucher. Louis était satisfait de lui-même.Bon, il ne s’était p
Louis a esquissé un sourire indifférent. Au lieu de s’adresser à Constantin qui bondissait de colère, il s’apprêtait à partir.À la vue du mouvement de Louis, Constantin a fait un pas en avant. Il a retenu Louis, en criant : « Dêpéchez-vous, il faut que vous m’indemnisiez ! Autrement, je vais déposer une plainte contre vous tout de suite ! »Derrière lui, Stéphanie, qui avait le cœur tendre, a dit : « Louis, si tu n’as pas cette somme d’argent, je peux te prêter. »Voyant que Louis travaillait dur, elle éprouvait quelque sympathie envers lui. Elle ne souhaitait pas que Louis perde son emploi à cause de ça.Roxanne, qui demeurait silencieuse, s’est rendu compte que la femme était l’ancienne copine d’université de Louis et que l’homme était son aîné. Mais, un aîné d’université aurait le droit d’être insolent ?Elle n’a pas pu se retenir et s’est mise à parler : « Vous, vous n’êtes pas raisonnable ! C’est vous qui nous avez heurtés ! Pourquoi vous exigez que nous vous indemnisions de l’a
En apercevant la carte d’adhésion de Constantin, l’assistante du directeur s’est inclinée devant lui. C’était le principe de l’Hôtel de N : le client est roi !Puis, elle a regardé Louis avec une mine froide, disant : « Monsieur, si vous n’êtes pas un adhérent de notre hôtel, vous n’avez pas le droit de dîner ici. Les places sont réservées aux clients et les étrangers ne peuvent pas stationner ici. La voiture de notre client a été abîmée à cause de vous, vous devez payer l’indemnisation. »Comme l’assistante du directeur était de son côté, Constantin triomphait en toisant Louis et a dit : « Vous avez bien entendu ? Payez-moi l’indemnisation, campagnard, sinon je vais appeler la police ! »Louis a froncé les sourcils. Il n’a pas songé que l’Hôtel de N respectait un tel règlement. Mais il a quand même dit avec un ton lourd : « Madame, bien que je n’aie pas de carte d’adhésion de votre hôtel, ma secrétaire m’a déjà réservé des places. Je n’aurais pas le droit de stationner au parking ? »
« Mais... » Stéphanie a hésité.Elle n’avait jamais eu de petit copain. Elle est sortie avec Constantin, parce que celui-ci lui courait après sans répit, jusqu’à se servir de ses relations pour persuader les parents de Stéphanie. Elle était obligée d’accepter l’invitation de Constantin.Il n'y avait aucune marque d'affection à son égard. Si on n’avait pas d’affection envers quelqu’un, c’était comme ça. Si elle avait éprouvé de l’affection pour Constantin, elle aurait accepté d’être sa petite copine à l’université.Cependant, elle était un peu embarrassée que Constantin la force par le biais de l’affaire concernant Louis.Louis et elle étaient de bons amis à l’université. Il y avait eu même quelque moment d’affection entre eux. Néanmoins, Louis était devenu le gendre matrilocal de la famille Royer après avoir obtenu son diplôme. Donc, ils avaient perdu le contact.Mais, à cet instant, Louis devrait se mettre à genoux et sortir d’ici à quatre pattes sous ses yeux...Alors que Stéphanie h
En même temps, au parking, Constantin, à la vue du portable non-intelligent de Louis, a pouffé de rire : « Eh bien, Louis, vous êtes vraiment un homme de succès, en vous servant d’un portable non-intelligent qui ne coûte que quatre-vingt-dix-neuf à un forfait de trois ans. »Sur ces mots, Constantin a jeté un coup d’œil à Stéphanie, disant distraitement : « Stéphanie, tu ne vois pas bien ? Il n’est qu’un pauvre, un bon à rien et tu parles en sa faveur depuis toujours ! Tu crois qu’il sera reconnaissant envers toi ? Je sais qu’il y avait une certaine affection entre vous. Mais regarde-le ! Il est comment maintenant ? Il n’a pas le droit de se mettre debout devant moi ! Tu n’as pas envie d’être ma petite amie parce que tu penses toujours à lui ? »Naturellement, Constantin n’était pas idiot. Il savait bien que Louis lui avait fait du mal quand il avait poursuivi Stéphanie à l’université. C’était pourquoi il humiliait Louis à cette occasion !Comme ça, il pourrait se venger de Louis d’une
Samy Clément, le directeur général de l'Hôtel de N, était également une personne très importante dans la cité N. Grâce à son poste dans cet hôtel, il était capable de faire la connaissance de hauts fonctionnaires et de nobles, étant ainsi respecté par d'innombrables personnes.Dans la cité N, même les chefs de certaines familles, surtout celles de second et troisième ordre ne pouvaient pas se comparer à lui.Mais Samy savait très bien dans son cœur qu'il n'avait pas de soutien solide dans la cité N et qu’il n'était en fait qu'un chien élevé et employé par les grandes familles.Parmi ces familles, la famille Boucher de la Région L était la plus puissante.La Société d'investissement de la famille Boucher était le représentant de la famille Boucher dans la cité N.Et, maintenant, le président de cette société s'est présenté à l'Hôtel de N dont il était responsable, comment Samy n'a-t-il pas pu paniquer ? Et à en juger par l’attitude de Natalie, ce président était peut-être de mauvaise hu
Constantin avait une expression terne, les choses allaient au-delà de sa compréhension, il ne pouvait pas saisir ce qui s'était passé.Au bout d'un moment, il est devenu furieux et a dit : « Pourquoi devrais-je payer pour cela ? Je suis aussi membre de votre hôtel et j’ai déposé 50 000 euros dans cette carte ! Votre hôtel ne prétend-il pas que seuls les membres peuvent entrer et consommer ? Pourquoi laisser entrer un bon à rien conduisant une bicyclette électrique ? » Samy a déclaré avec indifférence : « Parce que l’ami de M. Boucher est le client le plus respecté de notre Hôtel de N. Et les frais de base pour une carte VIP atteignent cinq millions par an, pouvez-vous comprendre maintenant l’écart entre M. Boucher et vous ? » Le visage de Constantin a pâli en un instant. Ce n’était pas facile pour lui de demander cette carte de membre de 50 000 euros. Comment pouvait-il dépenser cinq millions d’euros pour un membre de l’hôtel ? Même ses biens nets n’atteignaient pas cinq millions d’e