« Christina, ça fait longtemps », August a regardé Christina avec des yeux en feu, « si c'était quelqu'un d'autre, je ne peux rien faire, mais comme c'est toi, bien sûr que je dois trouver une boîte, attends... » « Au fait, c'est... » August a jeté un coup d'œil à Louis, avec une expression perplexe sur son visage, qui était ce pauvre ? Comment pourrait-il suivre Christina ? C’était son serveur, n'était-ce pas ?Sandra a ri et a dit à voix basse : « Il semble que M. Riviere soit vraiment à l'étranger depuis trop longtemps, et tu ne sais pas les nouvelles de nos anciens camarades de classe. C'est le mari matrilocal de Christina. Depuis trois ans de mariage, il n’a même pas touché les doigts de Christina... » « Oh ? Alors tu es le gendre de la famille Royer. Tu es le misérable légendaire ! J'ai entendu des gens parler. » August a ri, « mais les gens comme vous ne sont pas les bienvenus ici, alors s'il vous plaît, partez. » Louis lui a jeté un coup d'œil et a dit froidement : « Un dir
« ... » August est tombé dans le silence. Il savait bien que son visage était encore un peu enflé. Comment pourrait-il arranger cette salle ?Cependant, devant lui se trouvait Christina, la déesse du collège. Comme Christina le prenait comme ça, il ne l'a pas expliqué et a pris tout cela comme un beau malentendu.« Allez-y. Cette fois, nous allons arranger pour vous la plus grande boîte VIP de notre Pays du Nord. Un certain gendre matrilocal ne devrait pas entrer. J'ai peur que vous ne puissiez pas vous permettre le prix de ces plats. » August a souri. Louis a jeté un coup d'œil à August et a dit froidement : « M. Riviere, êtes-vous sûr d'avoir réservé cette boîte ? » « Si ce n'est pas moi, ça pourrait être vous ? » a ricané August.« Louis ! » a déclaré Christina sérieusement sur le côté : « Il nous a gentiment aidés à obtenir une boîte, alors ne dis pas de bêtises ... Aussi, August, bien que nous soyons des anciens camarades de classe, je te remercie pour avoir organisé cette boîte
August avait fini à peine que monsieur Forest s’est approché de l’entrée du compartiment. Il en a subitement poussé la porte et une seconde plus tard, il a posé ses yeux sur Christina, laquelle l’a fait venir l’eau à la bouche. Il a fourragé dans ses cheveux en faisant une pose qu’il se croyait très chic. Puis il a jeté un coup d’oeil sur son valet qui était à côté de lui.Le valet n’était pas bête. Il a frappé à la porte avec plein de façons et s’est dirigé vers Christina. Il a doucement toussé, disant : « Bonjour, mademoiselle... »« Bonjour, qu’est-ce que vous avez ? » Christina était toute confuse. Elle se réjouissait de son repas. Pourquoi un inconnu était-il entré singulièrement dans le compartiment ?La beauté rare de Christina a fait baver le valet. Il se disait que son patron avait de la chance. Si le patron mangeait de la viande, il lui resterait un peu de soupe ?Cette idée lui a rendu les regards obscènes irrésistiblement. Pourtant, il n’a pas oublié sa mission. Il a dit en
Max manquait plus ou moins de style, mais il avait un peu d’allure. De plus, on découvrait chez lui un air déterminé.À cet instant, beaucoup de personnes ont remarqué ce spectacle dans le restaurant. Ils se sont approchés et on a reconnu Max.« C’est Max Forest ! Ça se voit que monsieur Forest court la femme encore. Il joue toujours le président autoritaire chaque fois ! »« Hé, hé ! Vous ne savez pas. Monsieur Forest préfère courir les femmes au centre commercial. Selon ses mots, il n’y a pas de femme qui peut résister à l’argent ! »« La petite influenceuse n’était pas très fière autrefois? Monsieur Forest lui avait jeté à peine un million d’euros et elle s’est agenouillée en l’appelant papa ! »« À mon avis, son valet a le plus de chance. Chaque fois, Monsieur Forest prend de la viande, il jouit d’une bouchée de soupe ! C’est quand même admirable bien que les restes ! »« On va admirer un autre spectacle aujourd’hui ! »« Mais comme la fille d’aujourd’hui est jolie ! Elle est cens
Paf !À ce moment-là, on a vu une main, tendue par le côté, qui a frappé brusquement celle de Max. Louis, qui prenait son repas, s’est soudain mis debout et a caché Christina derrière lui, en se tournant vers Max et le regardant froidement.Christina réjouissait faiblement du geste de Louis. Mais apercevant que celui-ci se contentait seulement de frapper la main de Max, elle était légèrement désappointée.« Alors ? L’époux bon à rien aurait un mauvais caractère ? » Max, en secouant la main, a laissé échapper un sourire vague : « Quel malheur d’être frappé par un misérable ! Qu’on ne touche pas à la mauvaise fortune ! »Le valet à côté de lui a hurlé avec colère : « Tu retournes à l’endroit d’où tu viens, mec ! Je te mutilerai si tu cherches des ennuis à monsieur Forest, que tu le croies ou pas ! »« Hélas, nous sommes des civilisés. N’agissez pas comme ça. Vous êtes de la bande ? » Max a lancé un regard dur sur le valet. Puis il a tapoté deux fois le visage de Louis par la main droite
« La Conséquence ? Vous êtes taré, mec ? Je voudrais savoir quelle conséquence... » a ricané Max d’un air tordu. Il a avancé la main pour attraper Christina, qui se cachait derrière Louis.Paf !Cette fois-ci, à peine avait-il tendu la main, que Louis l’a saisi au collet par la main droite. Ensuite ce dernier lui a cogné la tête contre la table.Avec un bruit infernal, la tête de Max a été violemment heurtée contre la table. Du sang rejaillissait en éclaboussant, de son nez ainsi que de sa bouche. Néanmoins, Louis n’avait pas l’intention de cesser. Par contre, il a pris Max par la tête en faisant rudement plusieurs frappements de nouveau.Pan! Pan ! Pan !Le verre trempé dont la table était couverte s’est écrasé à l’heure du dernier frappement. Max était tout sanglant à la tête et avait le teint féroce.« Hélas ! »En dehors du compartiment, on entendait des cris de femme.Les hommes ont aussi changé de visage brutalement.Christina observait ce spectacle avec surprise. Elle n’était pa
Ce Max avait l’air voyou. On voyait bien qu’il avait appartenu au milieu illégal et venait d’entrer dans le milieu légal. On n’aurait pas envie de provoquer un gars tel que lui, même si on avait des ressources. Comment Louis, un type d’une apparence pauvre et misérable, osait le faire ?« Fils de putain ! Tu oserais me frapper ! T’es fichu, je te dis ! » Max s’est levé en se frottant le visage. Il avait le teint hideux : « Tu es perdu ! »Le valet a composé rapidement un numéro. Quelques instants plus tard, plusieurs gardiens robustes au service du centre commercial sont arrivés. Max avait démarré sa carrière par la création d’une société de sécurité. C’est-à-dire, il avait été actif parmi les bandes et avait collecté les « contributions ». La sécurité de ce centre commercial était à sa charge. Ainsi il ne lui fallait que quelques minutes pour faire venir plusieurs gardiens.Louis n’a même pas jeté un coup d’oeil sur ces gardiens. En revanche, il a claqué des mains, disant froidement
En ce moment, beaucoup de femmes vénales regardaient Max, les yeux illuminés. Il leur paraissait le prince charmant même s’il avait tant de vices. Louis, par contre, n’était qu’un campagnard à leur yeux. Il ne se rendait pas compte qu’il avait provoqué une catastrophe. Et il se vantait ici ! Il n’aurait pas la chance d’implorer le merci plus tard.Max remettait d'ordre dans sa tenue sans hâte. Il jouissait des regards obséquieux qu’on lui accordait. Il avait l’habitude de se comporter comme un tyran à N, en raison de sa position sociale.À cet instant, en se frottant le visage et le ventre, il s’est dirigé vers Louis avec ses hommes. Il a pointé son index approximativement vers le nez de Louis, disant : « Salopard ! Fils de Putain ! Tu oses me battre ! Quelle audace ! Moi, je n’ai pas rencontré un audacieux comme toi depuis longtemps ! »« Dès le jour où je me suis développé à N, tout le monde me traite avec prudence, tant qu’il se trouve à l’intérieur de cet endroit ! »« Et toi, auj