Chapitre 255

Raphaël s’est arrêté. Il a tourné la tête et regardait froidement l'homme derrière lui sans parler.

« Orvil, vous vous êtes peut-être trompé. » Le directeur de la galerie s'est empressé de lui expliquer, « La personne qui a détruit votre peinture est celle qui s'appelle Mia, pas Mme Martin. »

Orvil a souri légèrement et a jeté un regard doux à Mia : « Pourquoi ne pas te défendre après avoir été piégée ? Juste parce qu'il a donné dix millions de compensation en ton nom ? »

Le visage de Mia est devenu blanc.

Elle a levé les yeux pour le regarder, puis a tourné la tête pour regarder Raphaël dont le visage était sinistre et indifférent.

« C'est parce que personne ne parle pour moi. »

Quelques temps après, elle a dit mot par mot en fixant le visage de Raphaël : « La surveillance ne peut pas voir ce qui s’est passé, le seul témoin a choisi de se taire. Dans un tel cas, peu importe ce que je dirais, personne ne me croira. »

Orvil a ri légèrement. Il s'est avancé vers elle en regardant Raphaël