Chapitre 277

Adelia a pris le chèque qu’Orvil lui a tendu avec méfiance.

« Pourquoi la signature sur ce chèque est Raphaël ? »

« Oui. » Il a doucement ri : « Je suis venu ici aujourd’hui pour voir Mia, mais aussi pour rendre ce chèque de dix millions d’euros. »

Elle a froncé les sourcils et a regardé le chèque d’un air incrédule, puis a tourné les yeux vers lui : « C’est le chèque que mon petit-fils a payé à Orvil ? Alors tu es... »

« Je suis Orvil lui-même. » Il a chaleureusement souri et a dit : « Aussi, Madame, je voudrais vous expliquer quelque chose. Ce tableau d’une valeur de dix millions d’euros est encore accroché dans mon bureau, mes vrais tableaux ne sont pas exposés librement, et ce qui a été brisé ce jour-là était en fait une réplique. »

Voyant son expression choquée, il a poursuivi en souriant : « Monsieur Martin m’a donné un chèque de dix millions d’euros sans rien dire, c’est un geste très fringant de sa part, seulement je ne peux pas le garder. »

Elle était trop choquée pour parler.