Chapitre 314

Elle s’est mordu la lèvre et le regardait fixement : « S’il vous plaît, n’ouvrez pas la porte. » À ce moment-là, elle ne pouvait rien faire d’autre.

Il a trouvé son expression très dure. « Est-ce qu’elle se soucie tant que ça d’Orvil ? Elle ne veut pas quel qu’un d’autre soit au courant de notre relation et elle a surtout peur qu’il l’apprenne ? Je vais juste lui dire qu’elle est à moi ! » Sur cette pensée, il a tiré la porte brusquement.

L’air du couloir se déversait à l’intérieur et elle sentait le vent froid lui couper le visage comme un couteau. Elle ne devrait pas se faire de faux espoirs avec des gens comme lui, mais heureusement Orvil avait déjà raccroché le téléphone.

« M… » Ce dernier a levé les yeux, s’apprêtant à l’appeler par son nom, lorsqu’il a vu un homme grand et droit qui se tenait devant lui. Il est resté stupéfait un instant, puis a souri : « Monsieur Martin, vous êtes sans domicile fixe ? »

Il a ricané : « Je suis chez moi partout où je veux être. »

« Votre femme sa