Chapitre 431

« Même si j’étais mort à l’époque, mon père ne serait pas triste. »

« Mais Gabriel n’a rien fait et a obtenu tout l’amour de mon père », a dit Chrétien d’un ton impuissant.

À ces mots, Julie ne savait pas quoi dire. Il se trouvait au sommet de la pyramide, hors de portée de tous, mais ceux-ci ne savaient pas qu’il avait eu une famille brisée comme celle de Julie.

À cet égard, il était le même que Julie. Plus ils étaient malchanceux, plus ils avaient envie d’une famille complète.

« Mais c’est le destin. Il t’a donné un statut élevé et une fortune, il t’a également enlevé d’autre chose. Par rapport aux autres, nous sommes déjà tous très chanceux. »

Julie n’était pas avide, elle ne voulait que la liberté et le droit de faire ses propres choix.

Chrétien lui a doucement touché les cheveux légèrement bouclés et a dit : « Désormais...je n’ai que toi, tu vas m’accompagner pour le reste de ta vie, n’est-ce pas ? »

Ces mots ont semblé lourds et l’ont étouffée.

En fait, il y avait beaucoup de g