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Chapitre 497
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Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 498
« D’accord, monsieur Bernard », a répondu l’agent de sécurité.Jessie s’est dirigée vers Roland à grand pas, a fortement tapoté son bureau, et a dit : « Vous vous appelez Roland Bernard, vingt-six ans, fils adopté par la famille Dubois. L’étudiante la plus belle de l’Académie des Musiques a été votre maîtresse en 1999, et est inexplicablement morte sur la piste du patinage l’année dernière, avant sa mort, elle s’était querellée avec vous. Il y a deux mois, vous avez cédé les droits de développement d’Immo-Leroux à mon frère aîné, et vous avez signé un accord avec le Groupe Royal pour le développement conjoint d’Immo-Leroux. Moins de trois mois après la signature de l’accord, mon frère est allé en prison, et le lendemain après que vous êtes allé le voir, mon frère est mort en prison sans raison. »Sans se presser, Yves a froncé les sourcils et a répondu : « Mademoiselle Chambois, faites attention à vos paroles. C’est la société Azure, si vous continuez à dire de telles conneries, nous a
Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 499
Jessie ne s’attendait pas à ce que Roland remarque l’anomalie sur son visage au premier coup d'œil. Elle avait en fait eu recours à la chirurgie plastique pour devenir plus belle, et maintenant, elle a réalisé à quel point elle ressemblait à la femme sur la photo, mais ses yeux étaient encore un peu gonflés car il n’y a pas longtemps qu’elle avait subi la chirurgie esthétique au niveau du contour de l’œil. Jessie a évité son regard et a croisé les bras, en répondant : « Ça n’a rien à voir avec vous, n’est-ce pas ? » Soudain, elle a vu un tas de documents posés sur la table, et sa propre photo s’y trouvée, elle l’a ramassée et a dit : « Je vais voir ce que vous avez trouvé sur moi. » Avant que Roland ne réagisse, elle a ouvert les documents et a sorti toutes les photos dedans. En les regardant, Jessie avait l’air abasourdie, il s’agissait de ses photos antérieures à l’opération, de son enfance à l’âge adulte.Ses mains n’ont pu s’empêcher de trembler, elle a demandé : « Vous...
Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 500
Ils sont sortis du bureau l’un après l’autre et se sont rendus dans la salle de conférence. De l’autre côté.Julie ne s’est pas très maquillée, mais a porté une tenue de couple que Chrétien avait choisie.Vers six heures et demie du soir, François et Christine sont arrivés, Christine a pris Julie par la main et a dit : « Je ne m’attendais pas à ce que tu sois fiancée si tôt, je n’ai rien d’autre à te donner que ce bracelet de jade, et je l’ai spécialement acheté pour toi, tiens-le. »« Merci », a répondu Julie en prenant le bracelet de jade tendu, cette fois-ci, elle ne l’a pas refusée.En fait, Christine faisait de son mieux pour gagner la faveur de Julie pour la énième fois, mais cette dernière gardait toujours ses distances avec elle. Christine a personnellement mis le bracelet de jade à son poignet.Le bracelet de jade était rouge et clair comme du cristal et semblait très précieux ; en y regardant de plus près, on pourrait sentir le liquide qui coulait vraiment à l’intérieur.
Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 1
Le 14 février, jour de la Saint-Valentin.Julie Dubois, âgée de 31 ans, a perdu sa bataille contre le cancer.Une odeur âcre d’eau stérilisée emplissait les couloirs de l’hôpital de Paix de Rouen.« Roland, aujourd’hui, je passe une séance de dialyse pour fixer l’aiguille. C'est tellement douloureux. »« Je suis en train de mourir, peux-tu me rendre visite ? »« Je t’en prie, Roland... »Julie inclinait faiblement la tête, scrutant la boîte de dialogue sur l’écran de son téléphone : Elle avait envoyé plusieurs messages à cet homme, mais ils semblaient se perdre dans le néant, sans réponse...Allongée, une perfusion au bras, son visage était pâle et émacié. Ses yeux étaient enfoncés et cernés, et le cancer affecte gravement ses membres. Elle se sentait totalement impuissante, abandonnée à son sort. Même l’infirmière qui s’occupait d’elle n’était pas venue la voir depuis deux semaines, estimant que dans son état actuel, les traitements ne servaient plus à rien.En réalité, elle était une
Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 2
Il était midi lorsque Julie s’est réveillée en sursaut à cause d’un cauchemar. Elle s’est redressée brusquement, le front couvert de sueur. Dans l’instant qui suivait, elle a senti l’odeur familière du désinfectant, une odeur qu’elle détestait plus que tout. Julie est restée immobile pendant une fraction de seconde. N’était-elle pas déjà décédée ? Pourquoi était-elle toujours en vie ?Soudain, une lumière aveuglante a inondé la pièce sombre, l’empêchant d’ouvrir les yeux. La voix glaciale de l’homme a retenti : « As-tu fait un cauchemar ? »Il s’est déplacé d’un pas déterminé et s’est approché du lit d’hôpital, son imposante silhouette occultant la lumière. Son ombre enveloppait complètement le petit corps de Julie.« Ro… Roland ? » Julie a levé la tête, et lorsqu’elle a découvert le visage de l’homme qu’elle méprisait le plus au monde, elle ne pouvait réprimer un regard effaré. Elle affichait une expression d’effroi en le fixant, déclarant d’une voix tremblante, horrifiée : « Ne t’app
Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 3
Julie a pris une lente inspiration, a esquissé un sourire délicat, puis a adressé à Roland des paroles teintées de douceur : « Frère, je te prie de bien vouloir m’excuser. Je reconnais mes torts. À l’avenir, je ne t’imposerai plus ma volonté ou mon amour. Je te considérerai comme un frère bien-aimé, un ami précieux. »Contrairement à ce que Roland avait prévu, elle n’extériorisait pas sa colère en criant ni en détruisant quoi que ce soit sous l’emprise de sa fureur. Elle demeurait aussi calme qu’une poupée de chiffon, inerte.Les yeux de Roland clignaient rapidement, témoignant de sa perplexité et de son agacement face aux mots de la jeune femme. Après une brève réflexion, un léger sourire sarcastique s’est dessiné sur ses lèvres. Il était persuadé qu’il s’agissait d’une nouvelle manœuvre utilisée par la fille pour l’attirer.D’un ton bienveillant, il lui a déclaré : « C’est bien que tu aies compris. Repose-toi bien, ne fait plus de bêtises et je viendrai te chercher demain. »Puis, te
Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 4
Une heure plus tard, le taxi s’est immobilisé devant la résidence de la famille Dubois. Julie est entrée dans la maison et a changé de chaussures dans le hall d’entrée.Dès que Perrine l’a aperçue, elle s’est approchée rapidement et lui a demandé : « Mademoiselle Dubois, pourquoi êtes-vous revenue seule ? Où est M. Bernard ? Il disait venir vous chercher. »En l’an 2000, Perrine était encore relativement jeune, son visage ne portait pas encore les stigmates du temps. Julie ne pouvait pas résister à l’envie de la prendre dans ses bras. Dans sa vie dernière, après le décès de son père, Perrine était la seule qui était restée à ses côtés, la traitant comme sa propre fille et la réconfortant.« Mais tu m’as tellement manqué, Perrine. »« Ah... Mademoiselle, qu’est-ce qui ne va pas ? Serait-ce à cause de votre récente maladie ? » Perrine a repoussé doucement Julie et a posé une main inquiète sur son front. Ce n’est qu’après avoir constaté que sa température était normale qu’elle s’est légèr
Au revoir, ma vie antérieure misérable ! Chapitre 5
Après le dîner, Julie est retournée tôt dans sa chambre pour se reposer. Elle avait l’habitude de boire une tasse de lait chaud avant de se coucher, une routine qu’elle n’avait pas abandonnée depuis des années. Plus tard dans la nuit, un faisceau de lumière a percé l’obscurité, traversant les rideaux fins. La lueur des phares de la voiture a éclairé la chambre, suivie du bruit des pneus glissant sur le sol.Roland avait conduit la Audi A6 qui lui avait été offerte par François en récompense de ses excellentes performances au sein de l’entreprise. Il est descendu de la voiture, est entré dans le salon, a posé les clés sur la table et a balayé la pièce d’un regard scrutateur. Cependant, il n’a trouvé aucune silhouette familière.D’habitude, il y avait toujours une silhouette élancée assise sur le canapé, grignotant des en-cas, regardant des séries ennuyeuses...Mais à cet instant, en fixant le salon vide, la table basse dégagée, il a ressenti un vide inexplicable.Il a baissé les yeux,
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