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Chapitre 116
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Léo a hésité.La raison pour laquelle Céline ne voulait pas rentrer c’était parce qu'elle voulait rester avec Léo un peu plus longtemps, mais maintenant qu’elle a entendu que Léo devrait l'accompagner, elle était toute heureuse, tenant le bras de Léo et le secouant.« Beau-frère, j'ai peur de rentrer chez moi toute seule, accompagne-moi, d'accord ? »Léo était impuissant en soupirant et a pris les clés de la voiture de Jérémy pour accompagner Céline à la maison.En voyant cette scène, Alex était ravi en se disant : « Le chef était non seulement doué pour le combat, mais aussi doué pour s’entendre avec les femmes, il aurait probablement à souffrir à cause des femmes. »Dans un coin inaperçu. Benjamin, qui était mentalement blessé, a sorti sa tête et a regardé Léo et Céline monter dans la voiture, il était très en colère.« Léo, quel connard ! Tu t’es déjà marié et tu penses encore à ta belle-sœur. »« Merde ! Tu es vraiment un sauvage ! »« Céline, tu dois te marier avec moi. Personne n
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 118
Céline a jeté un coup d'œil en arrière et a constaté qu'une camionnette argentée et blanche les suivait furtivement de près.Avant qu'elle ne puisse réagir, Léo a soudainement appuyé sur les freins et la voiture s'est arrêtée.« Qu'est-ce qui s'est passé ? »Ceci dit, Céline a vu deux autres camionnettes blanches apparaître devant leur voiture. La route a été bloquée par ces trois camionnettes.Puis un groupe de personnes est sorti des camionnettes.On pouvait voir que chacun d'entre eux tenait dans ses mains des poignards, des machettes, des barres de fer, etc.En tant que femme, Céline a instinctivement eu peur surtout dans une obscurité totale comme ça. Même avec Léo à ses côtés, elle n'a pas pu s'empêcher de trembler.Même si Léo était puissant, il était à mains nues. Pouvait-il battre autant de voyous tenant des armes ?Céline a demandé avec crainte : « Qui sont-ils ? Ce sont les hommes de Raphal ? »« Non. »Léo lui a dit calmement : « Baisse la tête, verrouille la portière de la
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 119
« Quelle ordure ! » a grondé Céline.Le Tigre Malade s’est empressé de sourire : « Frère Léo, on ne savait vraiment pas que Benjamin allait vous frapper, encore moins qu'il allait s’arracher votre femme. Si on le savait, on n'oserait pas le faire. »Il a pris Céline pour la femme de Léo.Léo a toussé maladroitement : « Er... t’as mal compris, elle n'est pas ma... »Le Tigre Malade s'est empressé de hocher la tête : « J’ai compris, frère Léo. Nous n'avons rien vu et nous allons certainement garder ce secret. »Plus il expliquait, plus il pensait que Léo avait peur de l'admettre parce qu'il avait peur que sa femme sache qu'il la trompait.Léo s’est dit secrètement : « Tu ne sais rien ! » Au contraire, Céline était heureuse. Elle aimait le sentiment d'être considérée comme la femme de Léo, même si c'était un malentendu, même si c'était juste pour un petit moment. C'était une « récompense » de Dieu pour elle.Le Tigre Malade s’est étiré en disant : « Puisque le malentendu a été expliqué,
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 120
Benjamin s’est forcé à se relever, mais un autre voyou lui a donné un coup dans l'estomac. Il s'est couvert le ventre et a toussé sèchement au bord de la route.Les autres voyous se sont jetés sur lui et Benjamin a fait un signe de la main : « Arrêtez, arrêtez-vous un instant. »Il a dit à mi-voix : « Doucement ! Ne le prenez pas au sérieux. »L'un des voyous a pris un bâton en le frappant à la jambe, ce qui lui a presque brisé les os et l’a fait s'allonger sur le sol en hurlant.« Putain, est-ce que tu as entendu ce que je t’ai dit ? »Les voyous ne se sont pas souciés de ce qu’a dit Benjamin, ils ont continué à lui donner des coups de poing et des coups de pied .Benjamin était abasourdi en endurant une douleur atroce.Qu'est-ce qui ne va pas ?Comment cela est devenu un vrai combat ?Un peu plus tard, la foule s'est séparée et Léo s'est avancé en toussant doucement : « Réalisateur Benjamin, n'allais-tu pas combattre dix personnes en même temps et protéger Céline ? Pourquoi es-tu a
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 121
«Tu... »Céline s'est couverte la bouche et a dit en souriant : « N'oublie pas de te laver le visage avant de rentrer à la maison, sinon tu auras des ennuis si Emma découvre le rouge à lèvres. »Le cœur de Léo a palpité, en tant qu'homme, il savait ce que le comportement de Céline signifiait.Cependant, il était déjà marié.Il était impossible pour lui d'accueillir une deuxième femme.De plus, Céline était également la cousine d’Emma, une telle relation rendait la situation encore plus compliquée.« Beau-frère, tu ne penses pas trop. Je ne suis pas amoureuse de toi. » Céline a tiré sa langue et a rebondi en rentrant chez elle.Léo a secoué la tête, chassant toutes ces pensées de son esprit. Puis, il a pris une profonde inspiration en partant....Les jours suivants, Léo a concentré ses efforts sur le Groupe Fantaisie, il ne pouvait toujours pas oublier la mort de son frère François !La première étape était de rembourser la dette et de reprendre le contrôle de la société. Ce que Léo vo
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 122
À Midi, à l’aéroport Charles de Gaulle.Léo a attendu patiemment à l’arrivée internationale B2, regardant les femmes sortir avec leurs valises les unes après les autres. Il devait les comparer avec la photo qu’il avait dans son téléphone, de peur de rater Alice.En même temps, il a brandi une petite pancarte sur laquelle figurait le nom d’Alice Chirac.Enfin, au bout d’une demi-heure, une femme d'âge mûre portant un pantalon blanc, des lunettes de soleil et un chapeau de soleil a franchi la sortie.Léo l'a reconnue en un coup d'œil.Elle était exactement comme celle de la photo.Il s'est approché et a dit en souriant : « Bonjour Mlle Alice, votre grand-père m'a demandé de venir vous chercher. »Alice ne l'a même pas regardé et lui a très habilement tendu son sac : « Prends-le. »Léo a pris le sac.Alice est passée devant Léo avec les mains dans les poches, d'une manière indomptable.Léo l’a suivie de près comme un assistant, portant son sac et est entré dans un restaurant de l'aéroport
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 123
Alice était trop compétente. En tant que femme, elle avait une personnalité glaciale et arrogante, des capacités extraordinaires et était une femme à la mode.Elle a fait une brillante carrière.On ne sait pas combien d'hommes ont été vaincus par elle.Tous les hommes autour d’elle ambitionnaient sa beauté, la flattaient pour tenter d'obtenir des avantages, ou étaient bien moins compétents qu'elle.Progressivement, elle a eu une très mauvaise impression des hommes.Au fil des années, Alice, qui a connu un certain succès dans sa carrière, a gagné beaucoup d'argent, mais n’a eu pas l’amour.Simplement parce qu'elle était trop orgueilleuse et avait trop de mépris pour les hommes. Il n’y avait pas vraiment un homme dans ce monde qui puisse la satisfaire.Les plats ont été servis.Alice a pris son couteau et sa fourchette : « Peux-tu partir maintenant ? Je ne peux pas manger à ta présence. »Léo a secoué la tête de manière impuissante et s’est retourné pour partir.Il se tenait devant la po
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 124
Alice était si effrayée qu’elle est devenue toute pâle. Quand avait-elle vu de telles personnes qui ne respectaient pas les règles ?Le couteau du voyou était sur son cou, prêt à la tuer à tout moment.Les policiers étaient aussi terrifiés, ils ont pointé leurs armes sur le gangster les uns après les autres : « Calme-toi, calme-toi. Tu peux prendre ton temps pour trouver une femme comme ça. »Le voyou a crié : « Ça fait quarante ans que j’ai pris mon temps. Comment je prends mon temps encore? Je m'en fiche, je vais être couple avec cette femme aujourd'hui. Je ne peux pas trouver une épouse vivante, mais ça vaut la peine de mourir avec une belle femme ! »La dague tranchante était sur le point de transpercer le cœur d’Alice, à ce moment-là, une baguette a volé droit sur le voyou avec une voix de sifflement.Boum ! La baguette a transpercé la main du voyou.Le poignard dans la main du gangster est tombé au sol.La police l'a entouré et l'a menotté au sol.« Ne bougez pas ! »« Soyez honn
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