Les deux parties se sont regardées et se sont figées.Le jeune homme était Joseph Roux, un pilote de course professionnel de F1.La Ferrari était le leader de la F1, mais l'équipe a décliné après qu’un accident de route ait frappé leur champion l'année précédente. Cela a permis aux autres équipes de le rattraper.En fait, l’écart de puissance entre la Lamborghini et la Ferrari était très petit, et surtout la Lamborghini a engagé un excellent pilot de course à prix astronomique, ce dernier représentant la Lamborghini a successivement remporté le championnat.Tout le monde ne s'était pas attendu à rencontrer un pilote de course de F1 de Lamborghini dans un tel endroit.Félix a dit avec dédain : « Mec, ne sois pas trop arrogant ! Une bonne voiture n’est rien du tout ! »À ce moment, une voix légèrement douce est sortie de l'intérieur de la Lamborghini : « Même si ma voiture n’est pas bien, elle est toujours meilleure que la tienne, n'est-ce pas ? »Ceci dit, un autre homme en est sorti.C
La voiture roulait à mi-chemin lorsque Joseph a aperçu la Ferrari dans son rétroviseur et n’a pu s'empêcher d'être amusé.« Ha, ha, quel chien enragé ! Comment oses-tu me rattraper ? Te prends-tu pour qui ? »Ceci dit, il a fortement appuyé son pied sur l'accélérateur et sa vitesse a grimpé en flèche, dépassant largement la Ferrari derrière lui.Après tout, c'était un pilote de course professionnel de F1, sa classe était totalement supérieure aux pilotes de course que Léo avait rencontrés auparavant. Il n’avait pratiquement aucun problème sur la voie droite, même dans les virages, il était presque parfait. En y ajoutant les superbes performances de la Lamborghini, cela lui a permis de rester en tête. Pour Léo, il n'y avait aucun moyen de le rattraper.Dans la Ferrari, Félix a secoué la tête à plusieurs reprises : « Docteur Martin, laissez tomber ! Bien que vos compétences médicales soient excellentes, lorsqu'il s'agit de techniques de conduite, l’autre partie est un pilote de course p
On était au début de septembre et la brise d’automne était très froide. Les feuilles mortes des arbres tombaient sur les larges épaules. Léo Martin se tenait sous un vieil arbre, regardant l’immeuble de bureaux du Groupe Fantaisie. Il y a de cela deux mois, François Martin, PDG du Groupe Fantaisie, avait eu une dette énorme de 1,2 milliard d’euros à cause d’une rupture de fonds, le Groupe Fantaisie avait été hypothéqué par Aron Bernard, le patron du Groupe Ciel-Bleu. «Frère, ils se sont associés pour me piéger, je ne peux plus vivre. Frère, je suis désolé, je ne veux plus vivre. » avait dit François avant de sauter du toit d’un immeuble à minuit deux mois plus tôt. Il était mort sur le coup. Un talent commercial avait ainsi succombé. Le monde des affaires était comme un champ de bataille et les personnes sensées pouvaient constater que François n’était qu’une pauvre victime. Léo a pris une profonde inspiration dans le vent froid et a incliné la tête pour regarder les étoiles q
Sur la scène, Aron a regardé Léo avec un air méprisant, il aimait vraiment la sensation d’humilier les gens en public. Cependant, Léo demeurait insensible aux moqueries. Mais Aron pensait que Léo était trop effrayé pour pouvoir parler et il le provoquait en reprenant la parole : « Désolé, je suis un homme très franc, je suis vraiment désolé si tu as été blessé dans ton amour-propre fragile. En fait, je sais très bien pourquoi tu es venu ici aujourd'hui. Tu veux simplement utiliser la mort de ton frère pour m'extorquer de l’argent, n’est-ce pas ? J'ai déjà rencontré beaucoup de types comme toi. » Aron a haussé les épaules et a repris : « Cependant, je peux te donner de l'argent, à condition que tu sois prêt à dire trois fois devant tout le monde cette phrase : François mérite de mourir. Je promets de te donner ... Humm ...cinq mille euros, ça te va ? » C’était une humiliation, une humiliation flagrante ! Des rires fusaient de toutes parts, tout le monde a ri comme une baleine, cert
Pascal a fait un petit sourire, il a compris ce que Léo voulait faire. «À propos, je viens de recevoir un avis de l’administration. Paris, Nord-Calais, Côté-Mer, ces trois régions seront fusionnées et nommées collectivement la Région de Sud-Fleuve, et vous serez le premier responsable de cette région. Bosse, c'est vraiment un poste lucratif !» a dit Pascal. «Pour l'instant, ça ne m’intéresse pas, allons-y.» a répondu Léo en regardant par la fenêtre. «Eh, où allons-nous ?» a demandé Pascal. «Puisque je suis de retour, alors je vais faire un tour à la maison » a dit Léo. Une demi-heure plus tard, la voiture s'est lentement arrêtée. Léo a dit à Pascal de partir. Puis, il est entré seul dans la Résidence Noblesse et s’est dirigé vers une villa un peu ancienne. Il a frappé à la porte à plusieurs reprises. «Qui est-ce ?» a demandé une femme d’âge moyen en ouvrant la porte. C’était Susanne Leroy, qui était aussi la belle-mère de Léo. Elle s'est d'abord figée pendant quelques secon
Lorsqu'ils sont entrés dans la salle de l'hôtel, ils ont vu des tables bien apprêtées avec des vins fins et des mets raffinés. Les gens buvaient et se parlaient joyeusement. Emma a conduit Léo à une table située au bout de la salle, souriant à un vieil homme et criant : «Grand-père !» Ce vieil homme était Mathias Dupont, l'actuel chef de la famille Dupont. Il a dit en plissant les yeux: «Emma! Pourquoi tu es venue aussi tard ? Tu m’as beaucoup fait attendre, viens vite, assieds-toi.» Mathias a repris quand il a vu Léo: «Qui est-ce ?» «C'est Léo, mon mari.» a répondu Emma en baissant la tête. Elle était un peu timide. «Oh ?» a repris Mathias en regardant Léo de haut en bas. «J'ai entendu dire que tu étais parti rejoindre l'armée, mais je ne m'attendais pas à ce que tu reviennes aujourd'hui, viens, assieds-toi.» «Merci, grand-père.» a dit Léo en s’assoyant. Paul Dupont, qui était assis de l’autre côté de la table a demandé d'une voix sinistre : «Léo, mon beau-frère, tu es pa
Les gens se sont regardés mutuellement, se demandant c’est quel grade le Dieu de Guerre. Philippe a pris la parole: «Bien que je ne connaisse pas vraiment la situation dans la Région de l'Ouest, je connais très bien tous les grades militaires. Dieu de Guerre, ce grade n'existe pas du tout, Léo, tu devrais arrêter d'inventer des choses.» Les gens ont alors compris. «Alors c'est inventé, sinon je me demande pourquoi je n’en ai jamais entendu parler.» «Si tu veux inventer, alors invente de manière plus fiable!» «Un grade militaire que même Philippe ne connaît pas, ça n’existe certainement pas.» Face à ces accusations, Emma était si honteuse qu'elle voulait creuser un trou dans le sol pour s’y cacher. Léo, quant à lui, avait toujours l'air indifférent et il a dit à Philippe : «Tu ne connais pas le Dieu de Guerre, peut-être parce que tu n’es pas encore qualifié pour le savoir.» Les gens ont tous regardé Léo comme s'il était un idiot. Ils ont pensé que Léo avait dit n’importe q
Tout au long du banquet, beaucoup de personnes essayaient de flatter Philippe Moreau. Léo, en revanche, tout le monde le méprisait. Emma, qui était assise à côté de lui, avait honte et a voulu se lever et partir à plusieurs reprises. À ce moment-là, le téléphone portable de Léo a sonné. «Excuse-moi, je dois prendre un appel» a dit Léo en sortant de l’hôtel. Puis, il a décroché le téléphone. La voix de Pascal s’est fait entendre au téléphone : «Patron, des papiers administratifs sont arrivés, vous demandant de prendre le poste de chef des trois villes demain et d'assister à la cérémonie de succession.» «Tu me connais bien, je n'ai jamais aimé ce genre de formalités administratives. Je peux prendre la place de chef, mais oublie la cérémonie de succession» a répondu Léo avec indifférence. « Mais c'est un ordre de l’administration, patron, on doit le respecter.» «Alors tu vas assister à la cérémonie à ma place.» «Ce n'est pas bien de faire ça, n'est-ce pas ? L’administrati