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Chapitre 138
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Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 139
« C’est vrai ? »« Bien sûr ! »Emma a poussé un long soupir de soulagement : « Rien d'étonnant que Papa soit si excité. Léo, tu as sauvé la vie de mon père ! »Léo a haussé les épaules et a dit : « Ce n'est rien. »…Le lendemain matin, après la pluie, le beau temps.Léo s'est encore levé tôt comme d'habitude. Après s'être lavé, il avait l’intention d’aller au marché pour acheter des légumes. L’étonnant était que Luc s’est levé plus tôt que Léo.« Léo, allons-y, nous allons acheter des légumes ensemble. »« Quoi ? »À la confusion de Léo, Luc l'a heureusement emmené au marché.Quand ils ont acheté des légumes, Luc a fait l'éloge de Léo à tout le monde.« Madame Laure, c’est mon gendre, Léo. Il est très beau ! »« Madame Pétunia, mon gendre a été un militaire, et il est très fort ! »« Grand-mère Pulchérie, mon gendre est très gentil et pieux pour nous. »« Oncle Sam, c’est mon gendre qui a bon cœur et une belle prestance ! »Luc a fait l'éloge de Léo à tout le monde sans cesse.Les ac
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 140
Dans la cabine sombre, Clément Petit s'est assis devant l'ordinateur et était en train de traiter attentivement une image.C'était une image d'une femme nue qui s’est assise dans les bras d'un homme, et a été caressée et embrassée.Mais sur l'autre interface, c’était une image d'Emma.Le visage de la femme nue s’est échangé contre celui d'Emma par une série d’opérations de Clément Petit.Après avoir travaillé sans cesse pendant quatre ou cinq heures, le traitement de l’image a été réalisé, et personne n’était capable de trouver les défauts.En tant que l’artiste, Clément Petit n'était bon qu'à faire les affaires sales.Il s'est appuyé sur un fauteuil, s’est essuyé les mains et était assez satisfait de son travail. Puis, il a commencé à fabriquer une histoire de fond pour cette image traitée.Le lendemain.Clément Petit a imprimé l’image traitée et l’histoire de fond fabriquée et les a mises dans une enveloppe.Puis il s'est rendu à Reuters, une société de réseau de nouveaux médias, a r
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 141
« Tu viens de prendre une photo de ma femme sans sa permission, et j'ai envie de la supprimer. » Léo a-t-il lancé. « Ta femme ? »un homme a-t-il annoncé. Bah, sa femme l'a trahi, mais il ne s'en est aperçu ? Mdr. Une autre personne s'est approchée et s'est moquée de Léo : « Tu racontes n'importe quoi avec nous ici, mais puisque tu as du temps pourquoi ne prends-tu pas soin de ta femme ? Tu ne sais pas qu'elle t'a trahi? Ha!» « Oh, c'est dommage, dommage qu'une si belle femme soit une salope. » Un autre homme a-t-il ajouté. « Qu'est-ce qui est dommage ? N'est-ce pas mieux ? Sinon, comment pouvons-nous apprécier ses formes merveilleuses ? » Un certain a-t-il continué. « Non seulement nous pouvons l'apprécier, mais peut-être aussi...» Un autre a-t-il ajouté. Plusieurs hommes ont ri misérablement à Léo en demandant: « Mec, stp, fais un prix. Combien ta femme coûtera-t-elle ?... » Avant qu'il ne puisse finir de parler, la colère de Léo a explosé. Il ne pouvait plus supporter ces
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 142
Après l'avoir aperçue, Emma était honteuse et en colère. Elle aurait pu jurer qu'elle n'avait jamais trahi Léo, mais comment cette photo est-elle née ? Elle a été tellement lésée qu'elle était sur le point de pleurer, tremblant tout en tenant son téléphone. Léo a enlevé son manteau, l'a mis sur elle et a dit doucement : « Ne sois pas pressée, je vais certainement tout régler !» « Maintenant, tout le monde est au courant, comment devrions-nous y faire face ? » Emma a-t-elle grogné. « Emma, fais-moi confiance. » Léo a-t-il répondu. Emma s'est mordu les lèvres en regardant Léo, elle ne pouvait s'empêcher de pleurer dans ses bras. Tout en la réconfortant, Léo glissait son portable, regardant le canal de distribution de contenu en bas : Reuters, éditeur—Jean. Une demi-heure plus tard. Léo a conduit la voiture et a amené Emma au bâtiment de Reuters. Il s'agissait d'un immeuble de bureaux standard, avec trois ou quatre entreprises à chaque étage, et Reuters est situé au B301 au 14
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 143
Nous, journalistes, les stylos étaient plus puissants que les fusils. Si vous nous offensiez, vous n'auriez pas de bon résultat.C'était une menace nue ! Emma était inquiétée et a dit avec colère : « Les nouvelles sont évidemment fausses, et les photos sont aussi traitées. Tu sais tout, pourquoi l'as-tu encore postée ? C'est de la tromperie ! Tu n'es pas bourrelé de remords ?» Jean a épousseté la cendre de cigarette avec ses mains et a laissé échapper un cercle de fumée en répondant : « La conscience ça vaut combien ? Ça attirerait plus de followers ? » Emma est restée bouche bée, ces gens pouvaient tout faire pour arriver à leurs fins. Jean a poussé une autre bouffée de fumée en disant : « Bon, vous êtes vraiment profanes en cette matière. Ne voulez-vous pas simplement retirer la nouvelle et m'excuser pour sauver votre réputation ? Ce n'est pas impossible, mais il faut me payer cinq millions d'euros ! » De fond en comble, ce n'était pas gratuit ! Il a déclaré : « Nous publions
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 144
À ce moment, la patronne de l'entreprise, était assise sur une chaise de bureau et dessinait ses sourcils. Elle a été surprise par l'énoncé soudain d'Emma, ses mains ont tremblé, le crayon à sourcils s'est étiré et ses sourcils ont été dessinés de travers. Très fâchée, elle a posé le crayon à sourcils et le miroir et a regardé Emma. « Qui es-tu ? Qui t'a permis d'entrer dans mon bureau ? Sors tout de suite ! » Céci a-t-elle crié. Emma a ricané, s'est approché directement, elle a tapoté la table et a demandé : « Le rédacteur en chef de votre entreprise - Jean a publié de fausses informations, a utilisé des photos traitées, a sali les autres. Ce qu'il avait fait a eu un impact négatif énorme. Vous vous en fichez?» À ce moment, Léo et Jean étaient également entrés. Céci a demandé avec froideur: « Jean, est-ce qu'elle a dit vrai ? » Jean a secoué sa tête à plusieurs reprises en répondant: « Ce n'est pas juste, Madame Muller, vous ne me connaissez pas encore ? Je ne dis jamais de mens
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 145
Léo a toussé et lui a demandé : « Qu'en penses-tu ? D'accord ou pas ? » Emma a fait la moue en répondant : « Je ne parierai pas avec toi, un gros pervers, tu n'as pas honte de dire ça ? » En disant cela, Emma se sentait secrètement heureuse dans son cœur et espérait même perdre ce pari. Pas seulement elle allait gagner des excuses de Jean. C'était encore plus pour se consacrer à Léo. Ce genre d'impulsion ne se produit pas d'un coup. Il était rare que Léo prenne l'initiative de dire ça... Mais elle était encore vierge après tout, et elle se sentait honteuse et désemparée lorsqu'elle a évoqué cette affaire. Même si elle le voulait, Emma ne savait pas exprimer. « Tu m'attends un moment, je vais faire quelque chose et je reviens bientôt. » Léo a-t-il lancé. Il a quitté son siège. Quand il est sorti du café, il a appelé Alice : « Allô, Alice, hier tu m'as dit que tous les distributeurs de la ville étaient préparés ? » « C'est exact. » Alice a-t-elle dit. Léo lui a demandé : « Alo
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 146
Emma a fixé la photo des yeux pendant un long moment, elle l’a même agrandie pour s'assurer qu’elle n’avait pas la vue trouble. « C’est... » Elle a regardé Léo, puis son téléphone, muette de surprise. Léo a souri en disant : « Je leur ai rendu la monnaie de leur pièce. » Emma a demandé : « Comment as-tu fait ça ? » « Je connais des amis chez le Groupe Fantaisie, qui ont des ressources en matière de nouveaux canaux médiatiques, alors je leur ai demandé une faveur. » « Je vois, mais est-ce que ce n’est... pas très bon, hein ? » Léo lui a donné un sourire : « Alors tu veux que je le retire ? » Emma a immédiatement répondu : « Non. » À ce moment-là, Jean est sorti du bureau du PDG de Reuters après avoir parlé un moment avec sa patronne. Dès qu'il en est sorti, un tas de gens l'ont montré du doigt et certains ont ricané. Jean, qui était très sensible, a immédiatement senti que quelque chose s’est passé ici et a demandé à un collègue : « Pourquoi riez-vous ? » « Jean, tu
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