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Chapitre 45
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Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 46
Après être rentré à la maison, Léo s'est empressé de manger et d'aller se coucher. Le lendemain matin, il s'est levé tôt et a quitté la maison pour se rendre au restaurant d'Amour, situé au N°199 Avenue de Landon. Dès qu'il est arrivé et a poussé la porte, le patron lui a dit sans l’a regardé : « Bonjour monsieur, soyez le bienvenu, je peux vous aider ? » « Oncle Jacques, c'est moi. » répondit Léo. C'était le restaurant de Jacques. Depuis qu'il avait quitté le Groupe Fantaisie, il a pris sur ses économies pour ouvrir un petit restaurant, parce qu’il était doué pour la cuisine. Le restaurant venait d’être ouvert, il y a moins de trois jours. « Jeune maître, asseyez-vous ! » a dit Jacques en lui servant un hors-d'œuvre et une bouteille de vin. Il a versé un verre de vin pour Léo en disant : « Jeune maître, je suis content que vous soyez venu chez moi. » « Oncle Jacques, ton restaurant semble marcher bien. » a dit Léo en regardant autour de lui. « Comme ci comme ça, c’est jus
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 47
Sœur Zoé a déplacé un tabouret et s'est assise, elle a sorti un livre de compte et l'a feuilleté en disant : « Tu n'as pas payé ta part ce mois-ci, n'est-ce pas ? » Jacques a dit en souriant : « Mon restaurant vient d’ouvrir, il a été convenu que ma part commencera le mois prochain. » Zoé a froncé les sourcils : « Le mois prochain ? Alors ton restaurant ouvrira le mois prochain aussi, ferme-le maintenant. » « Ne soyez pas en colère, Sœur Zoé. Vous voulez ma part, n'est-ce pas ? Je vais les payer. C’est combien ? » Sœur Zoé a regardé le livre en répondant : « La part mensuelle était à l'origine de six mille euros, mais tu viens d'ouvrir le restaurant ce mois-ci, je te fais une remise de 20%, donc tu me donnes quatre mille huit cents euros. » « Sœur Zoé, il ne reste que cinq jours dans le mois, pouvez-vous le diminuer un peu ? » « Quoi ? Tu oses marchander avec moi ? » « Non, je n'ose pas » a dit Jacques, et puis, il s’est dirigé immédiatement vers le comptoir, et a pris l
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 48
Jacques avait une mine maussade, il connaissait bien Zoé, comment était-il d’humeur à boire ici ? Mais il savait aussi que Léo était en colère. « Jeune maître, laissez tomber, vous ne connaissez pas l’identité de Zoé, il vaut mieux qu’on ne l’offense pas. » Léo avait un air indifférent : « C'est elle le propriétaire ? » Jacques a secoué la tête. Léo a demandé à nouveau : « Alors, elle est cadre de l’administration ? » Jacques a encore secoué la tête. Léo a dit en souriant : « Alors sans aucune raison, pourquoi tu dois lui donner de l'argent ? » Jacques a soupiré en disant : « Vous ne savez pas que ce quartier est sous son contrôle. Si quelqu'un ne paie pas, sa boutique sera fermée immédiatement. Il est inutile d'aller à la police. Une fois que les policiers seront partis, ils viendront provoquer des troubles. On ne peut dépenser de l'argent que pour maintenir la paix. Il est impossible de les persuader par le raisonnement. » Zoé faisait en effet partie d’un groupe de m
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 49
Zoé a pris son téléphone portable et a composé le numéro de Dragon Chauve. Elle a crié au téléphone qu'elle a été malmenée et qu'elle voulait que Dragon Chauve vienne rendre justice et démolir le restaurant. Téléphone raccroché, Zoé a dit férocement : « Attends, mon homme viendra te tuer bientôt ! » Cependant, Léo s'est contenté de boire et de manger sans aucune crainte. Jacques était désespéré. Il savait exactement qui était le Dragon Chauve. Le restaurant sera fermé définitivement aujourd'hui et il ne savait même pas s’ils pouvaient quitter le restaurant vivants. « Jeune maître, vous avez un grand ennui ! Comment pouvez-vous encore manger à l'aise. Courez, vous êtes le seul descendant de la famille Martin, vous ne pouvez pas prendre de risque ici. » Léo a souri et n'a rien dit. Au bout de 3 minutes, un grand groupe d'hommes chauves est arrivé furieusement avec des barres de fer dans les mains. Le Dragon Chauve était à la tête du groupe. Il avait reçu une leçon hier et s'i
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 50
Léo a jeté un coup d'œil autour de lui et a demandé : « Alors pourquoi as-tu amené autant de personnes ici ? »Dragon Chauve a dit en souriant : « Je vois que votre restaurant vient d'ouvrir et que les clients ne sont pas beaucoup. Alors j’ai pensé que je dois présenter mes respects à grand-père et amener mes frères ici pour dépenser de l'argent afin que votre boutique soit prospère. »Il était un beau parleur.Bien que Léo sache que le Dragon Chauve a dit n'importe quoi, personne ne pouvait se mettre en colère dans une telle situation. Mais Zoé était frappée de stupéfaction, elle avait appelé tant de personnes, mais elle ne s'attendait pas à ce qu'ils soient tous effrayés par Léo. Elle était maintenant encore plus en colère. Elle s'est approchée et a attrapé l'oreille de Dragon Chauve : « Merde, qu’est-ce que tu fais ici ? Je t'ai demandé de venir leur donner une leçon, mais tu es venu l’appeler grand-père ? Tu es malade ? Peux-tu être encore plus éhonté ? Tu es vraiment un lâc
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 51
Dragon Chauve s'est forcé à rire : « Grand-père, vous plaisantez ! Je ne fais qu'un petit commerce, je ne gagne pas beaucoup d'argent. »Léo a demandé : « Dis-moi la vérité, combien d'argent gagnes-tu chaque mois ? »Dragon chauve a hésité un peu, mais en voyant le regard de Léo, il a immédiatement répondu : « Je peux gagner environ 400 000 euros par mois en extorquant, et je peux utiliser cet argent pour faire le prêt à usure. Donc si j’ai de la chance, je peux gagner environ un million d’euros par mois. Mais des fois, avec la malchance, je ne peux rien gagner. »Léo a hoché la tête : « Dans ce cas, si tu as de la chance, tu peux gagner au total un million et demi d’euros par mois ? »Dragon Chauve a froncé les sourcils en répondant : « En fait, ce n'est pas beaucoup. Comme vous pouvez le voir, je paie une douzaine d'hommes chaque mois et j'ai encore plusieurs femmes qui étaient très dépensières. Ce que j’ai gagné est loin d’être suffisant. »C’était vrai. Dragon Chauve avait d’a
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 52
Léo était en train de boire avec Jacques quand son téléphone portable a soudain sonné. C'était sa femme Emma qui l’appelait. Il a décroché le téléphone et la voix légèrement pressante d’Emma a retenti à l'autre bout de la ligne.« Léo, es-tu libre maintenant ? Tu peux venir me chercher ? » « Oui, où es-tu ? Je viens tout de suite. » « La Zone Scientifique et Technologique de Laurant, N°339 Avenue des Champs-Élysées. » Raccrochant le téléphone, Léo a vidé son verre et s'est levé en disant : « J'ai des affaires personnelles à régler, Oncle Jacques, à la prochaine ! »« D’accord. » Léo a quitté précipitamment le restaurant et a hélé un taxi pour se rendre à la Zone Scientifique et Technologique de Laurant. Au téléphone, il pouvait entendre qu’Emma était un peu nerveuse et effrayée, comme si elle avait rencontré quelque chose de dangereux, ce qui rendait Léo très mal à l'aise.Il n'y avait pas beaucoup de personnes dans ce monde qui pouvaient faire en sorte que Léo s'en soucie
Dieu de la Guerre Sans Souci Chapitre 53
Emma était tellement en colère qu'elle a juré à voix basse : « Quelle ordure ! »Léo l'a aidée à épousseter son corps et a demandé : « Qui est cet homme ? Pourquoi tu es si poli avec lui ? »Emma a dit avec un visage amer : « C’est Nicolas Grolleau, le président du Groupe Grolleau. Tu as aidé notre famille Dupont à obtenir un grand projet de démolition et de construction auparavant. Après en avoir discuté, le conseil d'administration de la famille Dupont a constaté que le projet était trop important et qu'on ne puisse pas obtenir l'investissement initial en capital comptant sur nos propres forces, donc nous avons dû nous associer à d'autres entreprises. »« Le père de Nicolas est un vieux ami de grand-père, ils ont beaucoup d'affaires avec notre famille Dupont. Le Groupe Grolleau est aussi une grande entreprise, donc grand-père a d'abord pensé à coopérer avec leur famille. Comme je suis le partenaire du projet, il était tout naturel que grand-père me laisse mener les négociations co
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