Le Dragon Chauve a soulevé le Tigre Malade et l’a fait s’agenouiller devant Léo en disant : « Vite, excuse-toi auprès de mon grand-père. »Le Tigre Malade bégayait et ne pouvait rien dire.« Tu veux toujours te faire tabasser, hein ? »« Non, non, non, je m'excuse, je m'excuse. » Le Tigre Malade a levé les yeux pour regarder Léo et a dit en tremblant de peur : « Grand-père, veuillez m’épargner, s’il vous plaît ! Je promets que je ne viendrai plus chez vous, sinon que le tonnerre me brise ! » Après tout, le Tigre Malade n'était qu’un sbire du Groupe Ciel-bleu. Léo ne voulait pas lui faire une leçon.« Va-t-en ! » « Ok, d’accord ! » Le Tigre Malade s'est empressé de partir en rampant avec ses hommes.Le Dragon Chauve a dit en souriant : « Grand-père, ai-je bien fait aujourd’hui ? »Léo s'est touché le nez et a toussé : « Ne m'appelle plus grand-père à partir de maintenant, appelle-moi Léo. »« Comment est-ce possible ? Je dois au moins vous appeler respectueusement Frère Léo »
Dans le sous-comptoir de la région de Sud-Fleuve de la Banque Suisse situé au N°188 Avenue de Gaulle.Léo s'est dirigé directement vers l’accès de VIP.« Soyez le bienvenue, je peux vous aider, monsieur... »Un employé de la banque l'a accueilli avec le sourire. En général, ceux qui pouvaient venir à l’accès VIP étaient tous riches, ou bien nobles. Alors les employés de la banque accueillaient leur client VIP toujours avec le sourire...Mais cet employé a vu que Léo s’habillait de façon très ordinaire et sans un seul garde du corps ou assistant à ses côtés, il avait immédiatement une mine maussade.« Je suis désolé, monsieur. C'est un accès de VIP, vous ne devez pas venir ici. »« Si vous avez des affaires à régler, allez au comptoir là-bas. »Puisque des clients se trompaient souvent accidentellement de comptoir, c'est-à-dire des clients ordinaires qui empruntaient l’accès de VIP. Alors les employés devaient distinguer si le client était vraiment un VIP ou s’il s'était simpleme
Il a regardé l’employé froidement en lui disant : « Dégage d’ici, tu as été licencié. »« Pardonnez-moi, Monsieur Bruno, je... »« Quoi ? Tu veux que je te force à le faire ? »L’employé n’a pas osé répondre, il n'avait rien à dire sur son licenciement, il devait s'en prendre à lui-même pour être trop aveugle.S'il avait été un peu plus poli ou s’il avait parlé normalement, il ne serait pas licencié.Bruno a ignoré l’employé et a conduit Léo directement dans la salle VIP exclusive la plus suprême de la banque.C'était une chambre avec la meilleure confidentialité où on n’avait pas besoin de s'inquiéter de la fuite de secrets.Après avoir demandé à Léo de s'asseoir, Bruno a demandé : « Monsieur Léo, que puis-je faire pour vous ? »Léo a dit en souriant : « Je suis venu pour récupérer ma carte, il devrait y avoir encore de l'argent depuis tant d’années, non ? »Bruno a souri : « Ne vous inquiétez pas, Monsieur Léo. Je m'occupe personnellement de vos affaires depuis ces dernière
À ces mots, Léo était stupéfait. Il savait qu'il avait de l'argent dans sa carte, mais il ne s'attendait pas à ce qu'il soit aussi riche.Même s'il a combattu pendant plusieurs années et qu'il avait développé l'habileté de ne pas montrer sa joie ou sa colère, il n'a pas pu s'empêcher d'être surpris à cet instant.Il a dit avec un sourire embarrassé : « Bruno, merci pour vos soins au fil de ces années. Pour être honnête, je ne connais rien à l’investissement et sans votre aide, cet argent serait de l'argent mort. »Bruno était surpris de recevoir un tel remerciement, il a dit en souriant : « Monsieur Léo, vous m’avez flatté, sans parler de vous aider avec votre argent. Même si je devais vous dédier ma vie, je serais heureux de le faire. »« Je vous remercie ! »Bruno a poursuivi : « M. Léo, vous pouvez garder cette carte et l'utiliser comme bon vous semble. Quant à l'ensemble de vos biens, vous pouvez toujours me les confier, ce qui vous assurera des bénéfices constants. De cette f
Téléphone raccroché, Emma a mis ses chaussures d'une manière confuse et a conduit jusqu'au Café Procope. Alors qu’elle était en train de garer la voiture, elle a vu Luc s'approcher.« Papa, pourquoi tu m’as demandé de venir ici ? »Luc a regardé Emma de haut en bas et a hoché la tête : « Bien, tu t’es habillée convenablement, viens avec moi. »Sans expliquer, il a pris Emma par le bras et est entré dans le café. Puis il l'a faite assoir dans une salle. En face d’Emma était assis un homme aux cheveux mi-longs, ressemblant un peu à un artiste de performance, qui n'était pas trop vieux, moins de 30 ans.Luc l'a présenté : « Emma, voici Clément Petit dont je t’ai parlé, c'est le fils de notre directeur. Vous allez bien discuter. »Emma était abasourdie, qu’est ce qui s’est passé ?Elle était demandée à venir pour discuter avec un homme inconnu ? Qu'est-ce qu'il y avait à discuter ? Clément a regardé Emma attentivement et a hoché la tête : « Eh bien, elle est très jolie et répond
Clément était convaincu qu’Emma accepterait de se remarier avec lui. C'était une occasion idéale pour elle d’entrer dans une famille riche et de sortir sa famille d'un énorme conflit de dette.Seule une idiote refuserait.Mais... Emma a souri en secouant la tête et a repoussé le chèque : « Je suis désolée, si je dois vivre ma vie avec un homme aussi mal élevé que vous, je préfère porter une énorme dette et sauter du haut d’un grand immeuble. »Cela voulait dire qu’Emma préfère se suicider au lieu de se marier avec Clément.Clément était furieux et a déchiré le chèque en morceaux, puis il s'est levé en disant vicieusement : « Je vous ai donné une chance parce que vous avez encore une certaine allure. Mais vous ne la chérissez pas. Vous croyez que je me soucie de vous ? Allez vous faire foutre avec votre mari perdant ! »Luc a essayé d’empêcher Clément, mais ce dernier l'a repoussé.Clément a pointé du doigt Luc en disant : « Vieil imbécile ! Vous voulez encore travailler ? Oh, att
Ce n’était pas impossible de préparer un programme approprié. En tout cas, on ne pouvait lui dire qu’il devrait rembourser ses dettes toute sa vie, n’est-ce pas ? D’ailleurs, il était très probable qu’il ne pourrait pas rembourser tous les neuf cent millions.Luc Balbutiait.Pendant ce temps, Nathan a jeté un coup d'œil sur les alentours : « Où est donc Léo Martin le débiteur ? »À entendre le nom de Léo Martin, Luc est devenu furieux : « Ce gamin est parti on ne sait pas où. »« On ne sait pas ? » Nathan a dit froidement : « Vous n’allez jamais vous tirer d’affaire. Il s’agit d’un crime grave de s’enfuir sans rembourser les dettes. Un conseil pour vous : Livrez-moi rapidement Léo Martin, sinon vous allez passer la nuit à la station de police aujourd’hui. »« Comment... » Luc ne savait pas quoi dire, serrant les dents.Léo était parti tôt le matin, sans avoir dit où il allait se rendre. En plus, son portable était éteint depuis. Comment pouvait-on le retrouver dans ces conditions ?Luc
Lorsqu’ils sont arrivés au tribunal, ils ont immédiatement vu Léo. Il était assis sur une chaise métallique dans la zone de repos.En voyant les gens arriver, il s’est dressé les habits avant de s’approcher d’eux.« Vous voilà ! »Lucas était surpris, car il n’avait jamais cru que Léo les attendrait ici.À l’en croire, Léo Martin n’avait pas neuf cent millions sur son propre compte et devait solliciter l’aide d’autrui. Mais, Adam Pineau avait déjà parlé avec tous ceux qui étaient capables d’aider Léo Martin pour qu’ils ne s’impliquent pas dedans. Donc, il était impossible que quiconque lui prête de l’argent.Malgré ses réflexions, Lucas n’a pas pu imaginer comment Léo avait pu réunir les fonds nécessaires pour se liquider.Il a demandé : « Tu vas rembourser comment ? »Léo a jeté un coup d'œil sur sa montre en répondant avec calme : « Quelqu’un va arriver dans une dizaine de minutes. Il va m’aider à rembourser toutes les dettes. Au lieu de neuf cent millions, je vais te donner un virgu