Chapitre 420Les yeux de Louis se sont assombris, il pensait qu’il avait mal entendu.« Qu’est-ce que tu as dit ? Greffe de rein ? »« Oui, mademoiselle Durand veut faire une greffe de rein, donc elle a fait autant d’examens médicaux, » a dit l’infirmière avec un air surpris.« M. Leroy, notre hôpit
Céleste avait vraiment peur de voir ses proches la quitter les uns après les autres.Son père était sa seule raison de vivre. Elle ferait tous ses efforts pour sauver Paul, elle s’effondrait complètement s’il quittait ce monde.Elle voulait frotter le corps de Paul, mais elle était incapable d’essor
Grâce à Gabriel, Céleste se sentait plus calme. Le temps passe vite sans qu’on s’en aperçoive. Les portes de la salle d'opération se sont ouvertes. Céleste se pressait pour demander à Bastien :« Comment ça s'est passé ? »Il a enlevé ses gants et son masque, puis il a soupiré de soulagement :« Ne
Le jour où l’on a diagnostiqué un cancer de l’estomac chez Céleste Durand, Louis Leroy était à l’hôpital avec son amante pour les soins de santé de son fils de cette dernière.Dans le couloir de l’hôpital, Jean Bernard tenait le rapport de biopsie, il a dit d’un air grave : « Céleste, les résultats
En fermant les yeux, Céleste a dit sérieusement : « Louis, je t’attends à la maison. »Céleste a raccroché le téléphone, elle était à bout de force. Elle s’est laissée couler le long du mur. Dehors, la pluie torrentielle tombait, le vent sifflait, elle s’est fait asperger par la pluie. Céleste tenai
En pleine nuit, Céleste était seule. Elle seule a pris un bain. L’eau chaude et fumante a chassé la froideur. Céleste a frotté ses yeux gonflés et est entrée dans une pièce chaleureuse. Elle a poussé la porte, c’était une chambre d’enfant cosy et confortable.Céleste a caressé la touche, et la boît
Céleste n’avait pas le temps de ruminer davantage. Le remboursement des frais médicaux qui coûtaient des 13000 d’euros était une priorité pour elle. La porte de la salle d’opération s’est ouverte, Céleste a demandé vivement : « Docteur Perrin, comment va mon père ? » « Ne vous inquiétez pas, Mme D
Sarah portait un manteau blanc en laine délicate, elle était douce et élégante avec les perles blanches à ses oreilles.Le châle autour de son cou valait à lui seul plus de 13000 d’euros. À la vue de Sarah, la vendeuse s’est empressée de l’accueillir.« Mme Leroy, M. Leroy ne vient-il pas avec vous