À ces mots, Fanny était toute triste, en même temps, elle avait aussi des soupçons sur Laurent à la vue du miroir des métaphysiques.Sans rien dire, Alex l'a prise étroitement dans les bras en serrant les poings. Cela était lié à la fidélité de sa femme, il n'a pas pu le dévoiler pour rien au monde.Alors, la meilleure solution, était de faire des enquêtes.Mais à sa surprise, les dialogues entre eux ont été entendus clairement par deux domestiques. Elles ont eu la bouche bée !À ce moment-là, elles sont revenues dans le cabinet. Tout compte fait, elles ont entendu secrètement ces dialogues.Lendemain matin, ce scandale s'est répandu dans les Travers.Ayant peur, Jules et Lucie se sont précipités dans leur villa une fois connu cette nouvelle.Ils voulaient scruter quelques informations en rassurant ce couple lamentable.« Mon frère, j'ai entendu dire cette nouvelle. Qu'est-ce qui s'est passé ? », àpeine entré, Jules lui a demandé.Lucie est entrée dans la chambre, feignant d'accompagne
Les Averies avaient la mine sombre, personne n'osait parler.Le sceptre de leur compagnie était à la main de Kai, c'était un cas fixé.Kai était un géant dans les champs commerciaux, la grand-mère ne pouvait jamais obtenir le droit de décision.Justement, Charles s'est levé avec un regard malicieux : « Grand-mère, j'ai une idée. »« Quelle idée ? Dis-le-nous ! », la grand-mère avait l'air content.Charles avait été puni en raison de ses intrigues, naturellement, il n'a pas pu se mélanger dans les affaires familiales. Mais, cette situation était urgente et vitale, alors, la grand-mère ne pouvait pas penser à cela.De plus, la grand-mère avait une affection abusive à Charles.L'attitude de la grand-mère lui a rendu de plus en plus arrogant : « Grand-mère, Kai a 51 % des actions de notre compagnie. Alors, il fait la pluie et le beau temps de notre famille. Il est difficile de se débrouiller, il vaut mieux se dessaisir. »« Se dessaisir ? »La grand-mère a froncé les sourcils, les autres a
La grand-mère a repris la parole : « Charles, si tu peux vendre nos actions, je te donnerai non seulement des compliments, mais aussi le droit de succession. » « Merci, merci... » Charles se noyait dans le bonheur et a jeté un coup d'œil sur Charlotte. « Tu es compétente, quoi ? » « Tu m'as arraché la chance de négocier avec Saphir. » « Mais, maintenant tout est reposé sur moi dans ce cas urgent. » Une dizaine de minutes après, une voiture de luxe s'est garée lentement devant la villa. Un homme portant des lunettes de soleil en vêtement de loisirs est descendu. C'était justement Rodolphe Roussel, derrière lui, il y avait aussi des gardes. Rodolphe était dans les vingtaines. En fait, avec ses forces extraordinaires, il avait des réputations dans les champs des arts martiaux. « Grand-mère, Maître Roussel, le directeur des Forces, est venu. » « Maître » était un titre honorifique pour les personnes pratiquant des arts martiaux. « Vite. » La grand-mè
Chloé avait un air complexe, mais elle a avalé ses paroles suivantes. Charles a repris de confiance : « Mon ami, j'ai pensé que tu avais des demandes délicates. Cela, ce n'est pas difficile. » Rodolphe a souri sans rien dire, et a regardé dans les yeux de grand-mère. Ce mariage avait des liaisons à l'avenir de la famille, et le droit de décisions se reposait sur ses épaules. La grand-mère a répondu sans hésitation : « C'est notre honneur. » Et puis, elle s'est tournée vers Chloé : « Chloé, comment tu en penses ? » Chloé s'est levée et allait dire quelque chose. Mais, Rodolphe a secoué la tête : « Non, madame, je ne la désigne pas. » « Quoi ? » « Ce n'est pas Chloé ? » « Alors, qui est son élu de cœur ? » Les Averies ont été stupéfaits. Chloé a été aussi surprise, elle s'est relaxée mais aussi était curieuse. Justement dans cette situation surprenante, Rodolphe s'est avancé. Tous les regards le suivaient, et le silence planait sur le s
« Tu es très charmante même en colère. Tu es vraiment l'élu de mon cœur. » L’intérêt de Rodolphe s’est éveillé par Charlotte. À ces mots, il a saisi sa main à nouveau. Cette fois-ci, il a utilisé des forces de capturer et a saisi sa main. Il s'est approché d'elle et a senti la fragrance émanant d'elle : « C'est séduisant. » Les Averies avaient un air irrité. La grand-mère, elle aussi, avait un air sombre. En fait, elle s'est mis d'accord ce mariage. Après que l'on avait fixé la date, il pourrait demander la main de Charlotte. Mais il a négligé les mœurs et a été si frivole devant le public ! « Arrête ! » Annie a dit avec mépris. Même si elle détestait son gendre au fond du cœur et qu'elle veuille qu'ils se divorcent, après avoir reçu le collier inestimable de Laurent, elle a un peu changé son point de vue vers lui. Mais à vrai dire, Laurent a trouvé un travail et a connu un ami riche qui pouvait lui prêter de l'argent et lui donner un collier cher. D
« Dégueulasse. Quel est ton nom ? » Rodolphe a négligé sa colère et a demandé. Laurent a répondu : « Laurent. » « Ah bon ? Laurent ? Ce bon à rien ? Tu es en colère en voyant ta femme lutinée ? Je te dis, elle va devenir ma femme. » Rodolphe avait un air provocant. « Va au diable. » Laurent a martelé ses mots. Son regard a semé la peur dans le cœur de tous. « Laurent ? C'est lui ? Pourquoi il a fait peur à tout le monde ? » « Va au diable ? Bâtard, je te cherche maintenant ! Je vais te donner des leçons ! » Rodolphe a sauté sur Laurent comme un tigre. À la vue de cela, les Averies avaient tous un air complexe. Même s'ils détestaient Laurent, à cet instant, ils voulaient qu'il l'emporte sur Rodolphe. Mais ils savaient bien que c'était illusoire. Rodolphe était le champion dans les compétitions des arts martiaux ! Il a ouvert des dizaines de salles ! « Laurent ! Tu ne peux pas le terrasser. » Ayant peur, Charlotte lui a crié. Elle était sat
Chaque fois que Laurent donnait un coup à Rodolphe, les autres tremblaient ! Dans toute la villa, personne n'osait dire un mot ! Enfin, deux voitures de police se sont garées devant la villa. Margueritte, en costume, est descendue avec deux policiers. À la vue de cette situation, elle a froncé les sourcils. « Arrête ! » Un policier s'est avancé vers Laurent. Laurent s'est arrêté et levé, puis a relaxé ses poignets. À la vue de Laurent, Margueritte s'est dirigée vers lui. « Qui a téléphoné à la police ? » Un agent policier a sorti un cahier en regardant autour de lui. Charlotte a repris la conscience : « C'est... c'est moi. » « Madame, vous avez dit que quelqu'un battait votre mari. C'est lui, votre mari ? Ce monsieur renversé par terre ? » Il a pointé vers Rodolphe, blessé et gisant sur le sol, en demandant. « Non, non, ce n'est pas lui... » Elle a secoué la tête et s'est tourné vers Laurent : « C'est lui... » À ces mots, elle a baissé la
Mais Laurent était tout à fait différent. Il avait la pilule de ciel, et il est devenu un soldat en 2 en un tournemain. En y pensant, Margueritte a adouci le ton : « Alors, tu peux me la donner dans quelle condition ? » À ce moment-là, le costume ne pouvait pas cacher sa silhouette magnifique. Laurent a souri : « Alors, tu me donnes des compliments. Si je suis ravi, je te donne. Mais, attention, tu ne peux pas faire cela à contre-cœur. » Margueritte a tremblé. « Laurent ! J'en ai assez ! » « Je ne suis ni arrogante et ni servile, je ne supplie jamais les autres ! » Margueritte s'est mordu les lèvres et a conduit moins vite. Quelques secondes après, elle n'en pouvait plus : « Laurent, tu, tu es le plus bel homme que j'ai vu. Peux-tu me donner une pilule de ciel ? » Laurent s'est éclaté de rire, à dire vrai, une beauté privilégiée comme elle, au cas où elle deviendrait douce, personne ne pouvait résister à son charme. Même Laurent ne pouvait y rési