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Chapitre 70
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« Nous ne pouvons pas l’essayer si nous ne pouvons pas l’acheter ? » Louis a ri. C'était vraiment la première fois qu'il rencontrait un tel vendeur. C’était des produits consommateurs, pourquoi les clients ne pouvaient pas les essayer ?Christina sur le côté était également un peu gênée, il était évident que l'employée les méprisait. Mais pour être honnête, son agence a été un peu difficile ces derniers temps, et l’argent emprunté par Louis suffisait à peine à maintenir le fonctionnement de son agence. Maintenant, elle hésitait vraiment à dépenser cette somme pour acheter une paire de chaussures.« Louis, pourquoi n'irions-nous pas chercher ailleurs... » a dit maladroitement Christina.Voyant l'attitude de Christina, Louis a hoché la tête. Il existait de nombreuses marques célèbres dans ce quartier. Comme les vendeuses de ce magasin avaient une mauvaise attitude, passions à un autre. Si vous avez de l'argent, vous n'avez pas à vous soucier de perdre une paire de chaussures.Cependant,
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 72
Ces employés avaient soudainement les jambes faibles et se sont accroupis par terre, surtout celle qui était si arrogante tout à l'heure, elle a tremblé encore plus. Elle a dit : « Je suis désolée monsieur, je suis désolée... je suis désolée... » À ce moment-là, même le directeur du magasin s'est épuisé rapidement, hochant la tête et s'inclinant. Pour un si gros client, même s'il n'a rien acheté, il n'a pas osé dire des bêtises devant lui.« Vous n'avez pas besoin de vous excuser, les profits de cette commande est grâce à ce vendeur. » Louis a pointé du doigt un autre employé qui avait été extrêmement poli tout à l'heure et a dit.« Oui, oui, oui ! » Le directeur n'arrêtait pas de hocher la tête, et quant à la vendeuse se moquant de Louis, son visage a pâli en ce moment, elle avait offensé un gros client et a perdu une grande somme de profits, et elle avait vraiment peur.À ce moment-là, la femme coquette qui avait regardé le spectacle a soudainement fait un pas en avant et a crié : «
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 73
Après avoir laissé l'adresse de Christina, les trois ont quitté le magasin, laissant derrière eux les vendeurs qui n’osaient pas lever leurs corps et les clients qui regardaient Louis avec admiration.Ils ne savaient pas la raison exacte, mais c’était si effrayant.Quand ils sont sortis, Christina a dit doucement : « Louis, pourquoi es-tu si riche ? Et qu'est-il arrivé à cette personne tout à l'heure ? Pourquoi a-t-il si peur de toi ? » Sandra a également regardé Louis de haut en bas, si elle ne comprenait pas cette question, elle ne pourrait pas s'endormir.Louis a haussé les épaules et a déclaré : « La carte bancaire n'est pas la mienne, mais celle de mon camarade de classe. Je peux d'abord l'utiliser et la traiter comme un salaire anticipé. Ne t’inquiète pas, mon salaire est assez élevé. » « Quant à savoir pourquoi cet homme a eu peur quand j'ai montré la carte bancaire, peut-être que le statut de mon camarade de classe n'est pas ordinaire ? » « Alors c'est comme ça ! » Christina
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 74
« Christina, ça fait longtemps », August a regardé Christina avec des yeux en feu, « si c'était quelqu'un d'autre, je ne peux rien faire, mais comme c'est toi, bien sûr que je dois trouver une boîte, attends... » « Au fait, c'est... » August a jeté un coup d'œil à Louis, avec une expression perplexe sur son visage, qui était ce pauvre ? Comment pourrait-il suivre Christina ? C’était son serveur, n'était-ce pas ?Sandra a ri et a dit à voix basse : « Il semble que M. Riviere soit vraiment à l'étranger depuis trop longtemps, et tu ne sais pas les nouvelles de nos anciens camarades de classe. C'est le mari matrilocal de Christina. Depuis trois ans de mariage, il n’a même pas touché les doigts de Christina... » « Oh ? Alors tu es le gendre de la famille Royer. Tu es le misérable légendaire ! J'ai entendu des gens parler. » August a ri, « mais les gens comme vous ne sont pas les bienvenus ici, alors s'il vous plaît, partez. » Louis lui a jeté un coup d'œil et a dit froidement : « Un dir
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 75
« ... » August est tombé dans le silence. Il savait bien que son visage était encore un peu enflé. Comment pourrait-il arranger cette salle ?Cependant, devant lui se trouvait Christina, la déesse du collège. Comme Christina le prenait comme ça, il ne l'a pas expliqué et a pris tout cela comme un beau malentendu.« Allez-y. Cette fois, nous allons arranger pour vous la plus grande boîte VIP de notre Pays du Nord. Un certain gendre matrilocal ne devrait pas entrer. J'ai peur que vous ne puissiez pas vous permettre le prix de ces plats. » August a souri. Louis a jeté un coup d'œil à August et a dit froidement : « M. Riviere, êtes-vous sûr d'avoir réservé cette boîte ? » « Si ce n'est pas moi, ça pourrait être vous ? » a ricané August.« Louis ! » a déclaré Christina sérieusement sur le côté : « Il nous a gentiment aidés à obtenir une boîte, alors ne dis pas de bêtises ... Aussi, August, bien que nous soyons des anciens camarades de classe, je te remercie pour avoir organisé cette boîte
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 76
August avait fini à peine que monsieur Forest s’est approché de l’entrée du compartiment. Il en a subitement poussé la porte et une seconde plus tard, il a posé ses yeux sur Christina, laquelle l’a fait venir l’eau à la bouche. Il a fourragé dans ses cheveux en faisant une pose qu’il se croyait très chic. Puis il a jeté un coup d’oeil sur son valet qui était à côté de lui.Le valet n’était pas bête. Il a frappé à la porte avec plein de façons et s’est dirigé vers Christina. Il a doucement toussé, disant : « Bonjour, mademoiselle... »« Bonjour, qu’est-ce que vous avez ? » Christina était toute confuse. Elle se réjouissait de son repas. Pourquoi un inconnu était-il entré singulièrement dans le compartiment ?La beauté rare de Christina a fait baver le valet. Il se disait que son patron avait de la chance. Si le patron mangeait de la viande, il lui resterait un peu de soupe ?Cette idée lui a rendu les regards obscènes irrésistiblement. Pourtant, il n’a pas oublié sa mission. Il a dit en
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 77
Max manquait plus ou moins de style, mais il avait un peu d’allure. De plus, on découvrait chez lui un air déterminé.À cet instant, beaucoup de personnes ont remarqué ce spectacle dans le restaurant. Ils se sont approchés et on a reconnu Max.« C’est Max Forest ! Ça se voit que monsieur Forest court la femme encore. Il joue toujours le président autoritaire chaque fois ! »« Hé, hé ! Vous ne savez pas. Monsieur Forest préfère courir les femmes au centre commercial. Selon ses mots, il n’y a pas de femme qui peut résister à l’argent ! »« La petite influenceuse n’était pas très fière autrefois? Monsieur Forest lui avait jeté à peine un million d’euros et elle s’est agenouillée en l’appelant papa ! »« À mon avis, son valet a le plus de chance. Chaque fois, Monsieur Forest prend de la viande, il jouit d’une bouchée de soupe ! C’est quand même admirable bien que les restes ! »« On va admirer un autre spectacle aujourd’hui ! »« Mais comme la fille d’aujourd’hui est jolie ! Elle est cens
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 78
Paf !À ce moment-là, on a vu une main, tendue par le côté, qui a frappé brusquement celle de Max. Louis, qui prenait son repas, s’est soudain mis debout et a caché Christina derrière lui, en se tournant vers Max et le regardant froidement.Christina réjouissait faiblement du geste de Louis. Mais apercevant que celui-ci se contentait seulement de frapper la main de Max, elle était légèrement désappointée.« Alors ? L’époux bon à rien aurait un mauvais caractère ? » Max, en secouant la main, a laissé échapper un sourire vague : « Quel malheur d’être frappé par un misérable ! Qu’on ne touche pas à la mauvaise fortune ! »Le valet à côté de lui a hurlé avec colère : « Tu retournes à l’endroit d’où tu viens, mec ! Je te mutilerai si tu cherches des ennuis à monsieur Forest, que tu le croies ou pas ! »« Hélas, nous sommes des civilisés. N’agissez pas comme ça. Vous êtes de la bande ? » Max a lancé un regard dur sur le valet. Puis il a tapoté deux fois le visage de Louis par la main droite
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