« Je ne suis pas d'accord. » Il a froncé les sourcils et lui a retiré le bras.« Mia, je pense que tu as fait un mauvais calcul. J'aurais pris en compte ton idée, mais après ce qui s'est passé hier soir… » Il s'est penché froidement près de son oreille et a dit d’une voix grave : « J'ai appris que tu travailles pour Nicolas Faivre. Tu crois que je garderais une employée de mon adversaire à mes côtés ? Ai-je l'air de quelqu'un qui réchauffe un serpent dans son sein ? »Sur ce, il a levé la tête et s'est préparé à partir, mais elle a tiré sur son col et a dit d’un ton léger : « Monsieur Martin, vous n'avez pas confiance en vous-même ? » Il l'a regardée, les sourcils froncés, sans rien dire.Les coins de sa bouche se sont légèrement courbés : « Je ne suis qu'une femme, vous auriez dû enquêter clairement sur ce que je peux faire. Cependant, vous avez peur que je dérobe les secrets de votre entreprise, n'est-ce pas un manque de confiance en vous-même ? » Elle lui a demandé sur un ton sédui

Nolan a levé les yeux au ciel et a dit : « Tu crois qu’une célibataire depuis un million d’années comme moi aurait ce genre de choses à la maison ? »Elle a ri : « Mais j’ai entendu Gabriel dire qu'un homme séduisant te faisait la cour récemment ? »À ses mots, son visage a instantanément rougi.« Nous sommes… Nous venons juste d'être ensemble et n’avons pas besoin d’utiliser un test de grossesse ! »En voyant son visage rougir, son humeur s'est instantanément éclaircie. Elle a souri en allumant la télé avec la télécommande et allait continuer de parler avec elle, quand on a sonné à la porte.« Votre commande est arrivée ! »Une commande ?Elle lui a jeté un coup d'œil : « Tu as commandé des plats ? »Elle a haussé les épaules : « Non, mais c’est pour toi. »Elle a ouvert la porte avec méfiance et le livreur lui a tendu un sac en papier.De retour dans la chambre, elle l’a ouvert.Ce qui est tombé du sac n'étaient autre que ce qu’elle venait de mentionner : des tests de grossesse ! Ell

« Monsieur Martin est venu ! »« C’est Monsieur Martin ! »« Allez vite le saluer ! »Mia venait de passer la porte quand elle a heurté un groupe d'hommes en costume qui approchait dans le sens inverse. Ils ont entendu que Raphaël était arrivé et ont tous couru frénétiquement vers la porte comme des chats qui ont senti l'odeur du poisson. Elle a été poussée dans un coin par la foule et a poussé un soupir d’impuissance. Il s'est avéré que non seulement il pouvait rendre d'innombrables femmes folles de lui, mais que les hommes aussi n'y échappaient pas non plus.« Excusez-moi. » Alors qu'elle y pensait, un homme bien propre l'a bousculée. Avec de simples excuses, il a levé la jambe et a suivi le groupe vers la sortie.Elle a pincé les lèvres, puis elle est entrée dans le club en sortant son téléphone pour voir la photo que Nolan lui avait envoyée. Elle avait un petit ami que depuis moins d'une semaine et n'avait pas eu le temps de le présenter. Elle a donc dû se fier aux photos pour le

« Qu'est-ce que tu veux e dire ? »En claquant la porte de la cage d'escalier, il a repoussé sa main : « N'essaie plus de la défendre, n'essaie plus de me mentir ! Elle a une amie si légère comme toi, elle n'est pas une femme sérieuse ! »Elle a roulé les yeux. Si ce n'était pas le fait que Nolan était vraiment triste à cause de son départ, elle aurait eu envie de le frapper au visage ! Elle a réprimé sa colère : « Monsieur Olivier, je ne sais pas où vous avez grandi pour être aussi féodal. J'ai juste pris votre bras, pour vous faire mal paraître devant vos collègues et vous forcer à venir écouter mes explications. Je ne vous ai pas embrassé et je n'ai pas couché avec vous, mais vous avez dit que je suis légère ? Vous n'avez eu aucun contact avec une femme de toute votre vie ? »« En plus, si ce n'était pas elle qui pleure pour vous à la maison, vous croyez que je voudrais venir vous voir ? »Un regard d'inquiétude s’est affiché sur son visage lorsqu'il a entendu dire qu’elle pleurait 

« Mia, tu es massive ! Prends un autre verre ! »Dans la salle NO.402, elle avait déjà bu son sixième verre de vin de la journée. Elle a posé le verre et s'est appuyée contre la table, une main sur la joue, léchant la tache de vin au coin de ses lèvres tout en regardant avec séduction l'homme rondouillard à côté d'elle : « Monsieur Brosseau, vous venez de dire que si je prenais un autre verre, vous signeriez le contrat. Un grand patron comme vous ne mentirait pas à une petite femme comme moi, n'est-ce pas ? »Sa voix traînante s'est légèrement élevée comme le miaulement d'une petite chatonne. Il a tout simplement oublié qui il était quand elle a dit ça.Comment pourrait-il être en désaccord alors que la belle l'a demandé devant lui ?« Bien sûr que non ! » Il a tendu le bras et arraché le contrat de la main du manager : « Signons-le maintenant ! »Les hommes dans la salle étaient choqués. Ils ne se sont même pas retourné leur calme avant qu’il ait fini de signer le contrat. Ils avaient